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| Économie Des gains majeurs pour les travailleurs et les retraités du Québec
| COMMUNIQUÉS - 01/06/23
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(20/04/23) Sébastien Lemire, député du Bloc Québécois d’Abitibi-Témiscamingue, se réjouit de l’adoption par le Sénat le 18 avril 2023 du projet de loi visant à protéger les fonds de retraite en cas de faillite ou d’insolvabilité de l’employeur. Le Sénat n’y ayant fait aucune modification depuis son adoption unanime à la Chambre des communes en novembre 2022, le projet de loi a obtenu directement le statut de loi.
«Après trois projets de loi déposés et plusieurs années de travail, les régimes de retraite sont désormais protégés. C’est une grande réussite et c’est un gain pour tous les travailleurs et les retraités. Plus jamais ils n’auront à vivre l’injustice de perdre ce pour quoi ils ont travaillé toute leur vie comme les travailleurs de la Cliff Natural Ressources. Notre région n’est pas à l’abri de connaître des faillites ou des rachats d’entreprises. C’est pourquoi c’est un gain majeur», soutient Sébastien Lemire.
Le travail inlassable du Bloc Québécois au cours des sept dernières années a permis au projet de loi de recevoir l’assentiment de tous les parlementaires de la Chambre des communes et du Sénat. «L’adoption de la loi démontre que lorsque tous mettent de côté la partisanerie, nous sommes capables d’accomplir de grandes choses, comme éliminer des injustices qui perdurent depuis trop longtemps. Évidemment, ce n’est pas seulement un travail de politiciens : c’est également grâce à la mobilisation des travailleurs et du milieu syndical que nous pouvons aujourd’hui célébrer», signale M. Lemire.
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| Si on rapporte souvent des cas de traitement injuste envers des athlètes québécois au Canada anglais, on n'a pas ce genre d'exemples au Québec. Les athlètes du Canada anglais peuvent performer dans un climat loyal au Québec comme lors du Championnat canadien de la petite ligue senior à Rouyn-Noranda.
| La voix des agriculteurs doit continuer de se faire entendre Sébastien Lemire a aussi été touché par les propos du président régional de l’Union des producteurs agricoles (UPA), Pascal Rheault, qui a rappelé les difficultés des producteurs et productrices agricoles de la région.
«De constater qu’une ferme sur dix pourrait mettre la clé sous la porte d’ici 12 mois me préoccupe énormément. L’agriculture est la base de la société. Il faut écouter nos agriculteurs et agricultrices qui sonnent l’alarme depuis un bon moment déjà», souligne Sébastien Lemire.
Ottawa peut faire sa part en procédant au lancement d’un compte d’urgence agricole. «C’est quelque chose que je demande depuis mai l’an dernier. Ce compte, inspiré de ce qui s’est fait durant la pandémie, serait un moyen important d’amener des liquidités pour le secteur agricole. Quand on constate les augmentations des taux d’intérêts, du coût du carburant, de transport, d’engrais et les augmentations des assurances et le resserrement des exigences, ce qui force des agriculteurs à investir des sommes considérables en peu de temps, on comprend leurs difficultés. Et cela s’ajoute au fait que la profitabilité est déjà très mince, voire inexistante pour certaines», a évoqué le député d’Abitibi-Témiscamingue par voie de communiqué.
Il propose aussi des incitatifs à la remise en culture de terres agricoles dévalorisées ainsi qu’un meilleur financement des travailleuses de rang, un service plus qu’essentiel actuellement pour épauler les producteurs et productrices agricoles.
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| Au Canada anglais, le mépris envers le Québec peut prendre différente forme. Par exemple, un drapeau du Québec pastiche lors de cérémonies officielles comme ce fut le cas ici lors des Jeux du Canada 2017 à Winnipeg.
| Finalement, Sébastien Lemire dénonce aussi le fait que le Parti conservateur du Canada nuit au travail en comité parlementaire du projet de loi permettant de protéger la gestion de l’offre. «Les Conservateurs vont du filibusting, c’est-à-dire qu’ils ralentissent volontairement son adoption. C’est choquant parce que c’est un projet de loi important pour protéger nos agriculteurs», a-t-il mentionné. Depuis longtemps, le Bloc Québécois dénonce le manque de soutien au monde agricole, particulièrement lorsque l’on compare le niveau de support financier offert par le gouvernement canadien à celui des États-Unis ou de l’Europe, qui est bien plus élevé. Il ne faut pas oublier que nos producteurs sont en compétition directe avec ces pays et sont nettement désavantagés.
Les Libéraux et le NPD unis contre le rapport d’impôt unique Le député d’Abitibi-Témiscamingue déplore qu’une majorité de députés aient voté contre le projet de loi pour obtenir un rapport d’impôt unique administré par le Québec. Il s’explique mal que les libéraux et le NPD aient pu voter «contre le bon sens». «Plus que jamais, dans toutes les organisations, on tente d’éviter les dédoublements et de maximiser les ressources. Au-delà de toute partisanerie, cette préoccupation seule devrait suffire à appuyer notre projet de loi. Manifestement, les libéraux et le NPD se sont contentés de voter contre les intérêts du Québec», a-t-il indiqué.
Sébastien Lemire regrette cette occasion ratée de mettre fin à un dédoublement et de simplifier la vie des Québécois, des Québécoises et de leurs entreprises qui sont les seuls au Canada à remplir deux déclarations d’impôt.
«Il n’y a rien qui justifie le fait que les Québécois s’astreignent à remplir deux déclarations d’impôt, alors qu’une seule gérée par le Québec permettrait de réaliser des économies en temps et en argent. Le gouvernement du Québec perçoit déjà la TPS pour le fédéral. Nous sommes amplement capables de percevoir l’entièreté des taxes et impôts», a soutenu M. Lemire.
Selon l’Institut de recherche sur l’autodétermination des peuples, une déclaration de revenus unique permettrait des économies annuelles de 425 M $.
«Les Québécois en ont assez d’être les seuls à remplir deux déclarations de revenus et veulent qu’il n’y en ait qu’une, administrée par Québec. L’Assemblée nationale du Québec a voté une motion unanime en ce sens et la demande faisait partie des revendications du gouvernement du Québec aux dernières élections fédérales. Le Syndicat de la fonction publique du Québec, les milieux d’affaires et chambres de commerce, les ordres de comptables, ainsi que 65 % des Québécois sondés par Léger en 2019 sont aussi en faveur. C’est un projet de loi qui est bon pour le Québec et nous allons revenir à la charge pour nous assurer que cette volonté des Québécoises et des Québécois soit respectée», a avisé Sébastien Lemire.
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| Les tricheries de QS en campagne électorale ne datent pas de 2022. Déjà en 2018, QS avait fait tout un coup sournois au PQ le jour du vote dans la circonscription de Rouyn-Noranda - Témiscamingue.
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Pénurie de la main-d’œuvre Sébastien Lemire présente des recommandations concrètes pour qu’Ottawa agisse
(13/04/23) Sébastien Lemire, député du Bloc Québécois d’Abitibi-Témiscamingue, est fier d’avoir rempli son engagement électoral de trouver des solutions pour contrer la pénurie de la main-d’œuvre alors que le Comité permanent de l’industrie et de la technologie a rendu public le rapport «Les petites et moyennes entreprises au Canada: tracer la voie pour assurer un avenir compétitif» s’attardant sur les petites et moyennes entreprises. «J’ai initié cette étude parce que notre région connaît une pénurie de la main-d’œuvre depuis déjà une dizaine d’année et la crise actuelle l’a simplement accentuée. Nous avons mis de l’avant plusieurs recommandations qui ont été adoptées par le comité et j’ai ajouté un rapport complémentaire pour souligner d’autres recommandations que je trouve importante pour aider nos entrepreneurs et les groupes marginalisés. Je suis également extrêmement fier d’avoir permis à des gens de l’Abitibi-Témiscamingue de contribuer à ce rapport afin d’amener des solutions visant à répondre à leurs besoins», a soutenu Sébastien Lemire, vice-président du Comité permanent de l’industrie et de la technologie. Une des recommandations importantes concerne notamment les travailleurs qui approchent de la retraite et demande au gouvernement de favoriser l’adoption de mesures incitatives et fiscales. «Durant les audiences, Jean-Guy Couillard, un travailleur d’Amos ayant l’âge de la retraite et toujours actif, est venu expliquer pourquoi les travailleurs expérimentés sur le marché du travail sont un atout pour certaines entreprises. Il faut que ce soit fiscalement avantageux pour eux, ce qui n’est pas le cas actuellement. En mettant en place ce type de mesure, on encourage ceux-ci à prolonger leur carrière et à partager leur expérience. De cette façon, ils continuent de contribuer à la société, ils augmentent leurs revenus ainsi que leur qualité de vie tout en demeurant des actifs. Ce n’est pas la panacée, mais c’est une des solutions concrètes», a signalé M. Lemire.
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| Le patineur d’Amos Antony Pard a fait une prestation sur une chanson du Montréalais Patrick Watson aux JDC 2023.
| Le rapport demande aussi au gouvernement de présenter un plan assorti d’échéanciers clairs pour réduire les délais de traitement comme demandé par Patrick Perreault de la Table Métal d’Abitibi-Ouest. «Il est plus que nécessaire qu’Ottawa réduise ses délais de traitement et toute la paperasse exigée à nos entrepreneurs. Le besoin des entreprises est maintenant. Pas dans trois mois. Pas dans six mois. Pas dans un an. Maintenant. Et ce plan doit aussi faire en sorte que des services soient disponibles dans notre région pour que les entreprises et les immigrants puissent avoir des réponses à leur question à proximité», a évoqué Sébastien Lemire. Toujours sur le plan de l’immigration, plusieurs recommandations sont présentées pour demander des améliorations, notamment par une révision complète du Programme des travailleurs étrangers temporaires pour mieux l’adapter aux besoins des petites et moyennes entreprises. «Il faut aussi simplifier le processus d’embauche et accepter d’élargir les catégories et les tâches. Par exemple, un travailleur en restauration devrait pouvoir accomplir divers emplois dans ce domaine. Même chose en agriculture où un travailleur pourrait amorcer son travail sur une ferme et se joindre à une autre par la suite pour combler les besoins de diverses productions en fonction des dates de récolte», a mentionné le député d’Abitibi-Témiscamingue.
Une autre des avenues pour contrer la pénurie de la main-d’œuvre aborde la question des étudiants étrangers. «Actuellement, près du trois quart des étudiants étrangers francophones, principalement venant d’Afrique, sont systématiquement refusés par Ottawa pour des raisons difficilement justifiables. De plus, le Programme des étudiants étrangers vise souvent à faire vivre une expérience au Québec et au Canada alors que, actuellement, il s’agit de la meilleure façon de s’intégrer à notre tissu social et de nous choisir à long terme. Ce changement de philosophie de la part d’Ottawa est important et doit venir rapidement», a soutenu le député pour faire suite au passage du recteur de l’UQAT, Vincent Rousson, devant le comité. En complément, le député d’Abitibi-Témiscamingue revendique aussi la création de fonds régionaux de soutien aux initiatives et expérimentation en matière d’habitation et de crédits d’impôt pour les immigrants en région éloigné, mais aussi pour les jeunes diplômés en région. «Les meilleures personnes pour s’attaquer à ces problèmes, ce sont les gens de notre région. Il faut nous donner les moyens de lutter contre la pénurie de logement parce qu’elle est intimement liée à la pénurie de la main-d’œuvre», a signalé M. Lemire.
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| Talia Birch du Québec est la première boxeuse médaillée d’or de l'histoire des Jeux du Canada.
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Sébastien Lemire en mission à Washington Positionner l’Abitibi-Témiscamingue au centre de la stratégie canadienne sur les minéraux critiques et stratégiques
(13/02/23) Sébastien Lemire, député du Bloc Québécois d’Abitibi-Témiscamingue, a participé au début du mois de février 2023 à une mission économique à Washington où il a rencontré divers élus, représentants et organismes politiques ainsi que le délégué du Québec à Washington, Jean-François Hould. Pour le député, il s’agissait de sa deuxième visite à Washington depuis décembre 2021. Ses rencontres ont été importantes pour positionner l’Abitibi-Témiscamingue et le Québec, notamment sur le plan des minéraux critiques et stratégiques comme le lithium et le cuivre. «Il n’y a pas si longtemps, l’esprit du Buy American First était quelque chose d’intouchable pour les États-Unis. La chaîne d’approvisionnement s’appuie sur des partenaires internationaux, notamment sur le plan des minéraux critiques et stratégiques. Ils sont en train de réaliser que si les échanges commerciaux ne sont pas faits avec le Québec et le Canada, c’est avec la Chine qu’ils les font. Les Américains ont compris notre point de vue et ils réalisent que nous avons les ressources dont ils ont besoin, que ce soit les minéraux, l’eau, l’énergie verte ou l’expertise. Je suis confiant qu’ils vont adapter leurs lois», a-t-il soutenu. Le contexte est aussi favorable pour la région, notamment en raison de la mainmise de la Chine sur 80% de la production mondiale de lithium. «On connaît tous la réalité de la géopolitique mondiale et les inquiétudes face à la Chine. Les liens se renforcent avec l’Europe, la Corée, le Japon et l’Australie. Il y a une fenêtre de cinq à dix ans devant nous pour être un acteur majeur de la transition énergétique. Par la suite, le marché va se cristalliser. L’Abitibi-Témiscamingue doit se positionner et devenir un leader en termes de mines vertes. C’est une opportunité que je veux que nous saisissions collectivement. Nous avons les moyens de le faire», a signalé M. Lemire.
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| Lors des Jeux d'été de 2022, les Québécois avaient eu souvent de quoi se réjouir avec un tsunami de médailles tout au long des compétitions.
| Vers une protection de la gestion de l’offre De plus, le projet de loi du député du Bloc Québécois, Luc Thériault, a été adopté en deuxième lecture par 293 députés, une étape importante de sa progression vers une protection plus importante de ce principe important pour les productrices et producteurs de l’Abitibi-Témiscamingue.
«C’est un pas de plus en faveur de notre projet de loi qui vise à protéger la gestion de l’offre dans les futurs accords commerciaux», a mentionné Sébastien Lemire. En Abitibi-Témiscamingue, près de 38% des entreprises agricoles évoluent dans le modèle de gestion de l’offre. «Des séries de brèches contenues dans trois accords commerciaux, malgré des engagements à protéger notre modèle intégralement par le biais de motions à cinq reprises ont rendu ce projet de loi nécessaire. S’il est adopté, ce projet de loi le protégera et forcera le gouvernement à respecter ces engagements lors des futurs accords commerciaux internationaux», a-t-il soutenu. Plusieurs étapes restent à franchir avant que le projet de loi soit finalement adopté. «Nous nous réjouissons que la ministre de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire Marie-Claude Bibeau, les libéraux, les néodémocrates ainsi que certains conservateurs se soient ralliés à notre position afin d’offrir à l’économie agricole québécoise le soutien qu’elle mérite. L’agriculture est un secteur économique très important, mais c’est plus que cela: ça représente un modèle de gestion sain, équitable et qui favorise l’agriculture à échelle humaine. Nous demandons maintenant à tous d’appuyer le projet jusqu’au bout», a conclu Sébastien Lemire.
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La Dépêche bientôt de retour sous un nouveau modèle d'affaire, mais toujours sur papier glacé
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Par ailleurs, l'entreprise témiscabitibienne estime actuellement pouvoir reprendre la publication de nouveaux numéros de La Dépêche à l'automne 2023 sur des assises tenant compte des nouvelles réalités économiques engendrées par la pandémie. Ce grand retour devrait se faire en association avec la nouvelle version du Panier Bleu du gouvernement du Québec.
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La Dépêche numéro 79 vous propose de découvrir quelques-uns des films de la 38e édition du Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue. D'ailleurs, La Dépêche consacre sa page couverture au long métrage Une manière de vivre tourné, entre autres, à Radisson. Une occasion de se rappeler l'importance qu'occupe la Baie-James dans notre «manière de vivre» au quotidien.
Aussi, à ne pas manquer dans La Dépêche numéro 79, la suite de nos reportages sur les belles routes du Témiscamingue. Dans cette édition, parcourez la route entre Angliers et la baie l'Africain.
Puis, poursuivez notre tour du monde avec une vision témiscabitibienne. Dans cette édition, destination: l’immensité de l’océan Pacifique et ses îles paradisiaques, mystérieuses et légendaires comme l’île de Pâques, l’îlot de Pitcairn et les îles soeurs de Moorea et de Tahiti.
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La Dépêche numéro 78 vous propose une édition spéciale sur l'enseignement collégial dans notre région.
La diversification de la clientèle que connaît le Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue depuis les dix dernières années est tout à fait nouvelle et exceptionnelle.
Mais qu'est-ce qui attire ces étudiants internationaux tout comme ceux des premières nations?
Un dossier éducation qui débute par un tour d'horizon des principales caractéristiques de notre institution cinquantenaire qui est, de surcroît, aujourd'hui plus que jamais, au service de son milieu d'appartenance.
Un grand dossier éducation de huit pages à lire absolument dans La Dépêche numéro 78.
La Dépêche numéro 77 vous propose la grande conclusion, sur six pages, de notre reportage sur un homme d'une endurance hors du commun: Pierre Gaultier de La Vérendrye.
Quelle belle histoire que celle de la famille de Pierre Gaultier de La Vérendrye qui oeuvra pour la Nouvelle-France avec une constance aussi réelle que celle caractérisant Samuel de Champlain!
Après s’être illustré héroïquement sur les champs de bataille en Europe et après des années passées à cultiver ses terres peu favorables de La Vérendrye (cf. La Dépêche numéro 76), il décide à 42 ans de changer de carrière. Il est à l’aube d’une fabuleuse troisième vie.
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Dans La Dépêche numéro 68, Michel La Veaux nous parle plus en profondeur de son documentaire Hôtel La Louisiane.
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Présent en 2015 au Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue pour Là où Atilla passe..., Roy Dupuis était également au Festival en 2014 pour présenter le film Ceci n'est pas un polar.
Toujours attaché à l'Abitibi-Témiscamingue où il est né, plus précisément à Amos, Roy Dupuis a bien voulu s'entretenir avec La Dépêche de choses et d’autres dans une entrevue exclusive que vous pouvez lire dans notre édition numéro 66.
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