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| MICROBILLETS Des gazouillis de joueurs de baseball révélateurs
| LA DÉPÊCHE NUMÉRO 60 - LES DERNIÈRES DÉPÊCHES - 13/08/12
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| Plusieurs joueurs de baseball de la Saskatchewan ont particulièrement apprécié leur séjour au Québec comme le démontrent leurs microbillets. Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section Abonnement.
| Malgré la québécophobie présente dans le reste du Canada et alimentée par des médias, des touristes viennent quand même au Québec et finissent par trouver les gens sympathiques.
Des gazouillis de joueurs de baseball venus à Rouyn-Noranda à l’été 2011 lors du Championnat canadien de la petite ligue senior le révèlent bien.
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| Des microbillets de joueurs de baseball du Canada anglais révèlent qu'ils peuvent parfois trouver les Québécois sympathiques. Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section Abonnement.
| Encore cette année, la Capitale culturelle a été l’hôte d’un autre Championnat canadien de baseball (du 17 au 22 juillet), en même temps que le Tour de l’Abitibi (du 16 au 22 juillet).
Ce fut une autre occasion pour plusieurs jeunes visiteurs de réaliser qu’il ne faut pas toujours croire ce que colportent des médias anglophones à propos du Québec.
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| Les athlètes du Canada anglais peuvent performer dans un climat loyal au Québec comme ce fut le cas lors du Championnat canadien de la petite ligue senior à Rouyn-Noranda en 2011. Lisez les détails sur papier glacé dans La Dépêche numéro 60. Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section Abonnement.
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Quelques gazouillis révélateurs
Ridge Tendler :«Je ne veux pas rentrer à la maison... :/ Tant pis, on se grise ce soir #nuitblanche»«Fantastique soirée au Québec :)», gazouille Kyle Mosiman malgré la défaite de son équipe plus tôt dans la journée.
Puis, deux jours après la fin du tournoi: «Je m’ennuie déjà du Québec :( #J’aimeraisêtreencorelà-bas»
« Qui veut retourner au Québec?», microbillet envoyé par Kyle Pirlot trois jours après la fin du Championnat.
«CANADIAN HOCKEY CLUB»Mettre sur la glace sa fierté
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| Au Centre Bell, on en fait beaucoup pour satisfaire la clientèle anglophone. Lisez les détails sur papier glacé dans La Dépêche numéro 60. Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section Abonnement.
| Depuis des années, l’organisation du Canadien fait des pieds et des mains pour ne jamais froisser ses spectateurs anglophones. Un souci qui se manifeste particulièrement dans sa manière probablement unique au monde de structurer les annonces de buts et de pénalités afin que les anglophones n’aient plus à répondre, oh! horreur, à un stimulus français, comme c’était le cas auparavant quand on annonçait d’abord tous les renseignements en français, suivi des applaudissements enthousiastes de la majorité de la foule, puis en anglais, sans acclamations, celles-ci étant déjà faites.
Les francophones n’ont pas droit à autant de considération, c’est le moins qu’on puisse dire. Récemment, ils ont dénoncé la nomination d’un entraîneur unilingue anglophone et la rareté de joueurs Québécois. Mais peu importe l’origine des joueurs composant l’équipe sportive la plus importante du Québec, ils pourraient tous faire un minimum d’effort pour parler la langue de la majorité de leurs partisans. Ne serait-ce que quelques mots. Tout comme on l’exige des joueurs du FC Barcelone.
D’ailleurs, dans le cas de cette équipe de soccer renommée composée de joueurs de plusieurs pays, le respect qu’ils ont pour la langue et la culture catalane se traduit par un sentiment d’appartenance synonyme de triomphe.
Plusieurs inconditionnels estiment que si le Canadien devait à nouveau connaître du succès, toutes ces considérations linguistiques deviendraient bien secondaires. Au moins, on peut se réjouir des insuccès de l’équipe qui évitent ainsi que notre fierté soit mise sur la glace loin en finale.
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