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| Fonderie Horne La Ville de Rouyn-Noranda tient à rassurer ses citoyens
| COMMUNIQUÉS - 05/04/23 et 01/06/23
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| La zone tampon juste au sud de la Fonderie Horne dans le secteur Portelance-Carter du quartier Notre-Dame de Rouyn-Noranda.
| Quelques semaines suivant l’annonce de la nouvelle autorisation ministérielle à la Fonderie Horne et du plan d’action gouvernemental, la Ville de Rouyn-Noranda est consciente des préoccupations de plusieurs citoyennes et citoyens et a tenu à faire le point sur la situation.
Autorisation ministérielle La Ville est mobilisée afin de rassurer les citoyens et tient à rappeler les multiples avancées de cette autorisation. Par ailleurs, dans le mémoire déposé par la Ville à l’automne [2022], les élus avaient, entre autres, demandé que soient inclus des objectifs pour tous les métaux, l’ajout de stations de mesures, des mécanismes plus sévères pour le traitement des eaux usées, une meilleure gestion des sols contaminés et plus de transparence. Suite au dépôt de la nouvelle autorisation, force est de constater que la grande majorité des demandes dirigées au Ministère de l’Environnement, de la Lutte aux changements climatiques, de la Faune et des Parcs (MELCCFP) ont été répondues.
«Évidemment, nous aurions souhaité avoir un délai clair pour l’atteinte de la norme provinciale d’arsenic. Toutefois, considérant que l’entièreté des recommandations de la Santé publique a été prise en compte et devant l’ampleur du travail de délivrer une autorisation beaucoup plus contraignante, il est indubitable qu’il s’agit réellement d’une avancée importante pour l’environnement et la santé de nos citoyens, souligne Samuelle Ramsay-Houle, mairesse suppléante. La mise en place d’un comité de vigie indépendant est extrêmement importante et les citoyens peuvent être assurés que nous y participerons avec rigueur», à faire savoir la Ville par voie de communiqué.
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| Si on rapporte souvent des cas de traitement injuste envers des athlètes québécois au Canada anglais, on n'a pas ce genre d'exemples au Québec. Les athlètes du Canada anglais peuvent performer dans un climat loyal au Québec comme lors du Championnat canadien de la petite ligue senior à Rouyn-Noranda.
| Zone tampon «Nous avons également bien entendu les multiples inquiétudes en lien avec la relocalisation des citoyens du secteur Portelance-Carter. Je veux aujourd’hui lancer un appel au calme et rappeler que nous sommes au balbutiement de cette vaste opération. La Ville demeurera proactive et impliquée tout au long du processus et nous réitérons notre volonté de travailler avec la communauté dans une démarche de cohabitation qui se veut participative et transparente», rassure le conseiller du quartier Noranda, Réal Beauchamp.
La Ville souhaite que le processus de rachat des propriétés soit connu et transparent et que les mesures de compensations soient mieux définies afin que tous les propriétaires et locataires soient bien au fait de leurs droits. Les propriétaires qui ont contacté la Fonderie ou leur représentant ont été invités à attendre la présentation de l’ensemble des mesures avant d’entamer leur démarche.
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| L'équipe du Québec triomphe plus que jamais en territoire pouvant être difficile lors des Jeux du Canada 2023 à l’Île-du-Prince-Édouard.
| Prochaines étapes Au cours des prochaines semaines, la Ville de Rouyn-Noranda mettra en place une équipe dédiée à la démarche de cohabitation qui veillera à réunir l’ensemble des parties prenantes, incluant les citoyens, les commerçants, les organismes, la Fonderie Horne et la Direction régionale de santé publique. Dans l’intervalle, la Ville collabore étroitement avec la Direction régionale de la Santé publique qui sera grandement impliquée dans ce processus. De son côté, le Ministère des Affaires municipales et de l’Habitation amorcera prochainement l’exercice de collecte d’information auprès des citoyens visés par la relocalisation afin de connaître leurs besoins en matière de logement et d’habitation. Chacun d’entre eux sera contacté personnellement par le ministère. Les détails de l’exercice seront dévoilés sous peu.
«C’est une nouvelle page d’histoire que nous sommes sur le point d’écrire et le conseil municipal s’engage à assumer un leadership fort [une forte influence] dans l’intention que ce nouveau chapitre soit sous le signe de la cohésion sociale», conclut la mairesse suppléante.
Le transport collectif gratuit pour tous à Rouyn-Noranda
Par ailleurs, la Ville de Rouyn-Noranda est extrêmement fière d’annoncer que le transport collectif est gratuit pour tous les usagers. Cette mesure s'applique à l'autobus de ville ainsi qu'au transport adapté pour une période minimale d’un an depuis le 1er mai 2023.
«La gratuité du transport en commun est une mesure qui me tient réellement à cœur. Plusieurs villes au Québec ont adopté cette voie avec des succès très intéressants. Je suis persuadée que cette initiative permettra d'augmenter l'achalandage de nos autobus, une façon concrète d’agir positivement sur notre environnement. Ceci est sans compter qu’en diminuant les coûts du transport en commun, nous favorisons une plus grande équité sociale et permettons d’augmenter le pouvoir d’achat des usagers», a souligné la mairesse, Mme Diane Dallaire, par voie de communiqué. Alors que le conseil municipal adoptait le lundi 20 février 2023 son premier Plan de gestion des déplacements, cette action s’inscrit en cohérence avec la vision d’encourager les citoyens à adopter de nouveaux comportements en matière de mobilité durable.
De plus, la Ville poursuivra son analyse pour améliorer l'offre de transport collectif à partir des commentaires reçus dans le cadre des consultations du plan de gestion des déplacements. En effet, la Ville est consciente que la mesure de gratuité atteindra son plein potentiel avec une offre de services de transport optimisée qui répondra davantage aux besoins, notamment en termes d’accessibilité, de fréquence des passages, de l’étendue et du temps de parcours. Consciente que la voiture est souvent le moyen de déplacement le plus rapide, la Ville de Rouyn-Noranda travaille à développer une offre permettant un déplacement du premier au dernier kilomètre au plus grand nombre de citoyens.
Enfin, les retombées de la gratuité sur la fréquentation du transport collectif seront mesurées tout au long de la prochaine année.
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La Dépêche bientôt de retour sous un nouveau modèle d'affaire, mais toujours sur papier glacé
Suite à la pandémie de COVID-19, La Dépêche a suspendue temporairement la publication du magazine sur papier glacé et se trouve présentement en pleine restructuration.
Le nouveau modèle d'affaire conservera assurément le support sur papier glacé : un véhicule d'information plus écologique, plus sécuritaire pour combattre les fausses nouvelles et plus bénéfique pour la santé que jamais! Bref, un média traditionnel distinctif et ainsi... plus crédible.
Par ailleurs, l'entreprise témiscabitibienne estime actuellement pouvoir reprendre la publication de nouveaux numéros de La Dépêche à l'automne 2023 sur des assises tenant compte des nouvelles réalités économiques engendrées par la pandémie. Ce grand retour devrait se faire en association avec la nouvelle version du Panier Bleu du gouvernement du Québec.
La Dépêche numéro 80 consacre sa page couverture à la relance de l'usine de pâte kraft à Lebel-sur-Quévillon et en profite pour remettre les pendules à l'heure concernant l'impact des nouvelles technologies de l'information sur l'écologie de notre planète et sur notre santé.
Un grand dossier étoffé sur l'avenir prometteur du papier soutenu par une multitude d'experts du monde de l'économie, de la santé et des nouvelles technologies. À lire dans La Dépêche numéro 80.
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La Dépêche numéro 79 vous propose de découvrir quelques-uns des films de la 38e édition du Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue. D'ailleurs, La Dépêche consacre sa page couverture au long métrage Une manière de vivre tourné, entre autres, à Radisson. Une occasion de se rappeler l'importance qu'occupe la Baie-James dans notre «manière de vivre» au quotidien.
Aussi, à ne pas manquer dans La Dépêche numéro 79, la suite de nos reportages sur les belles routes du Témiscamingue. Dans cette édition, parcourez la route entre Angliers et la baie l'Africain.
Puis, poursuivez notre tour du monde avec une vision témiscabitibienne. Dans cette édition, destination: l’immensité de l’océan Pacifique et ses îles paradisiaques, mystérieuses et légendaires comme l’île de Pâques, l’îlot de Pitcairn et les îles soeurs de Moorea et de Tahiti.
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La Dépêche numéro 78 vous propose une édition spéciale sur l'enseignement collégial dans notre région.
La diversification de la clientèle que connaît le Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue depuis les dix dernières années est tout à fait nouvelle et exceptionnelle.
Mais qu'est-ce qui attire ces étudiants internationaux tout comme ceux des premières nations?
Un dossier éducation qui débute par un tour d'horizon des principales caractéristiques de notre institution cinquantenaire qui est, de surcroît, aujourd'hui plus que jamais, au service de son milieu d'appartenance.
Un grand dossier éducation de huit pages à lire absolument dans La Dépêche numéro 78.
La Dépêche numéro 77 vous propose la grande conclusion, sur six pages, de notre reportage sur un homme d'une endurance hors du commun: Pierre Gaultier de La Vérendrye.
Quelle belle histoire que celle de la famille de Pierre Gaultier de La Vérendrye qui oeuvra pour la Nouvelle-France avec une constance aussi réelle que celle caractérisant Samuel de Champlain!
Après s’être illustré héroïquement sur les champs de bataille en Europe et après des années passées à cultiver ses terres peu favorables de La Vérendrye (cf. La Dépêche numéro 76), il décide à 42 ans de changer de carrière. Il est à l’aube d’une fabuleuse troisième vie.
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Dans La Dépêche numéro 68, Michel La Veaux nous parle plus en profondeur de son documentaire Hôtel La Louisiane.
Pour en savoir plus sur les personnages de son film et sur ce lieu magique dont les valeurs humaines qui s’en dégagent peuvent nous inspirer, procurez-vous La Dépêche édition 68.
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Présent en 2015 au Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue pour Là où Atilla passe..., Roy Dupuis était également au Festival en 2014 pour présenter le film Ceci n'est pas un polar.
Toujours attaché à l'Abitibi-Témiscamingue où il est né, plus précisément à Amos, Roy Dupuis a bien voulu s'entretenir avec La Dépêche de choses et d’autres dans une entrevue exclusive que vous pouvez lire dans notre édition numéro 66.
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