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Constitution de 1982
«Rapatrions la Vérité»
COMMUNIQUÉS  -  17/04/13

Des médias contribuent à la vague orange au parlement d'Ottawa
 
 

Des médias ont joué un rôle de premier plan pour rendre possible au parlement d'Ottawa le tsunami orange des fédérales 2011. À lire dans La Dépêche numéro 58.

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Le Mouvement national des Québécoises et Québécois (MNQ) et Génération nationale (GN) ont décidé de s'unir pour lancer l'opération «Rapatrions la Vérité». Ils réagissent ainsi aux allégations de l'historien Frédéric Bastien dans son ouvrage La bataille de Londres (Boréal) sur les indiscrétions commises par l'ancien juge en chef de la Cour suprême au moment du rapatriement de la constitution canadienne, ainsi qu'au refus du gouvernement fédéral à ouvrir une enquête pour faire toute la lumière sur ces évènements.

«Dès aujourd'hui [17 avril], une déclaration de principe demandant au gouvernement fédéral de rendre publiques les archives liées au rapatriement de la Constitution du Canada sera mise en ligne sur le site www.rapatrionslaverite.org. Les Québécois seront invités à la signer en grand nombre pour envoyer un message clair au gouvernement fédéral.»


AU CENTRE BELL ON FAIT BEAUCOUP POUR SATISFAIRE LES ANGLOPHONES
 
 

Au Centre Bell, on en fait beaucoup pour satisfaire les anglophones. Plus de détails dans les numéros 60 et 61 de La Dépêche.
  
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«À ceux qui affirment qu'il ne s'agit que de «vieilles chicanes», je tiens à rappeler que la Charte canadienne des droits et libertés enchâssée dans la Loi constitutionnelle de 1982 a inspiré de nombreux jugements controversés de la Cour suprême sur la loi 101 et plusieurs autres questions sensibles qui préoccupent les Québécois. Nous croyons qu'il faille faire toute la lumière sur cette affaire de première importance», a affirmé Simon-Pierre Savard-Tremblay, président de Génération nationale. Pour sa part, Gilles Laporte, président du MNQ, a tenu à dire: «Nous croyons que l'enjeu constitutionnel doit transcender les intérêts partisans. Voilà pourquoi nous appelons les élus québécois de la Chambre des communes, les membres de la société civile et toute la population à joindre leur voix à la nôtre pour exiger qu'on puisse faire toute la lumière sur cet événement fondamental de notre histoire. D'ailleurs, nous sommes très fiers de la belle unanimité dont ont fait preuve hier les députés de l'Assemblée nationale en votant une motion en ce sens.»

Génération Nationale est un mouvement d'éducation populaire penché sur des enjeux tels que la question nationale, l'identité, l'histoire et l'éducation. L'organisation a vu le jour en janvier 2013.

Fondé en 1947, le Mouvement national des Québécoises et Québécois regroupe aujourd'hui dix-huit (18) Sociétés nationales et Sociétés Saint-Jean-Baptiste réparties sur tout le territoire du Québec. Il a pour mission de défendre et promouvoir l'identité québécoise, la langue, l'histoire, la culture et le patrimoine.



LES GAZOUILLIS RÉVÉLATEURS DE JOUEURS DE BASEBALL
 
 

Des microbillets de joueurs de baseball du Canada anglais révèlent qu'ils peuvent parfois trouver les Québécois sympathiques. Plus de détails dans La Dépêche no 60.
  
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Un concert de casseroles dans les bureaux de Justin Trudeau
«Trudeau et les fédéralistes affirment qu’ils ne veulent pas "brasser la cage" par rapport au coup d’État de 1982 et aux révélations de l’historien Frédéric Bastien. Or, nous, les Québécois, voulons en sortir une fois pour toutes de cette cage et de ce qu’ils réduisent  - parce que cela les arrange - à de "vieilles chicanes", malgré une motion unanime de l’Assemblée nationale

C’est ainsi que le jeune Maxime Laporte, juriste et coordonnateur du Réseau Cap sur l’indépendance (RCI), qui rallie 30 organismes citoyens, résume le sens de l’action surprise organisée le 17 avril par plusieurs de ses groupes-membres pour souligner à la fois le sombre anniversaire de l’entrée en vigueur de la «putsch-titution» de 1982 et le couronnement triomphal à la tête du Parti libéral du «prince héritier» Trudeau.

Ainsi, vers 14h, le 17 avril, une quarantaine de manifestants ont envahi les bureaux du député et nouveau chef du PLC Justin Trudeau, le temps d’un concert de casseroles. Des membres du Mouvement progressiste pour l’indépendance du Québec (MPIQ), du Comité souverainiste de l’UQAM, du Rassemblement des mouvements indépendantistes collégiaux (RMIC), de l’Action féministe pour l’indépendance (AFI), le Conseil jeunesse de la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal (CJSSJB) et le groupe DénonciNation ont travaillé en moins de 24 heures à l’organisation de cette action, la première d’une série de plusieurs interventions militantes significatives. Les militants, réunis par le RCI, affirment vouloir mener une campagne sous le thème «Sortons-en» pour «exprimer l’indignation nationale, qui rejoint même des fédéralistes québécois, et dénoncer les différents types d’attitudes qui tendent à nier ou à minimiser le conflit constitutionnel.»
 
Laurence Beauchemin, membre du comité de coordination du RCI, a tenu à mentionner: «Cette soi-disant "vieille chicane" constitutionnelle n’a rien de suranné. Le conflit a beau avoir été mis en latence ou en dormance pendant quelques années, le temps est venu de briser le tabou et de mettre fin au statu quo, et notre génération est là pour prendre la relève. Sortons-en!»
 
Monsieur Laporte a ajouté: «Pour le Québec, cette constitution, viciée dès le départ par l’emploi de procédés douteux et illégaux, n’est pas une constitution. C’est une fraude. Tout d’abord parce qu’elle n’a pas été ratifiée par le Québec, mais plus encore, parce qu’elle n’a pas été ratifiée par le peuple du Québec comme ce serait le cas dans une démocratie. C’est un diktat, un coup d’État. Et un peuple digne de ce nom n’accepte pas de se laisser régir par un document aussi profondément illégitime et qui porte des conséquences très concrètes dans notre vie quotidienne. Les décisions qu’Ottawa nous impose, souvent en violation de nos intérêts et consensus nationaux, que ce soit en matière d’assurance-emploi, de fiscalité, d’économie, d’environnement, de ressources naturelles ou d’interventions militaires, elles sont dues à l’existence de cette constitution que nous n’avons jamais signée. Nous avons assez perdu de temps, d’argent et d’énergie en vivant dans ce régime injuste, qu’il a toujours fallu combattre et dénoncer par devoir. Sortons-en! Passons aux vraies affaires, c’est-à-dire gérons nous-mêmes nos propres affaires!»



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LA DÉPÊCHE NUMÉRO 60Le DGE «homme de main» du Parti libéral du Québec. Des articles à lire dans les numéros 61, 60 et 56 de La Dépêche. Aussi à lire dans notre édition numéro 60 de septembre 2012, le bilan des années Charest: À l'ombre d'Harper, un fédéralisme néfaste pour le Québec. Pour vous procurez un ancien numéro de La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT.