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| Enseignement de l’anglais et de l’histoire La ministre Marie Malavoy obtient des appuis
| COMMUNIQUÉS - 17/10/12
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| Malgré ses tentatives de diversion, le Parti libéral du Québec a beaucoup de difficultés à se dissocier de l'image de corruption qui l'afflige. Plus de détails dans les numéros 60 et 61 de La Dépêche. Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section Abonnement.
| La Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB) de Montréal encourage Marie Malavoy, la ministre de l’Éducation du Loisir et du Sport à aller de l’avant avec les mesures proposées sur l’enseignement de l’anglais et de l’histoire au primaire et au secondaire.
Comme l’a expliqué la ministre, il n’est pas question d’affaiblir l’enseignement de l’anglais, mais de le rendre plus efficace. C’est le caractère obligatoire et mur-à-mur que le gouvernement libéral voulait imposer au programme d’anglais intensif qui soulève beaucoup d’oppositions et de questionnements. D’une part, la compression de l’enseignement d’une année en cinq mois pour les matières de base risque d’avoir un impact négatif sur les enfants en difficulté d’apprentissage et sur les nouveaux arrivants. «Dans la région de Montréal, l’existence même de ce programme doit être remise en question, alors qu’une très grande majorité des jeunes francophones et allophones sont bilingues avant d’atteindre l’âge adulte», souligne Mario Beaulieu. La SSJB encourage également le PQ à remettre en question le saupoudrage de l’enseignement de l’anglais dès la première année du primaire, une mesure dont l’efficacité a été remise en question par plusieurs chercheurs.
Par ailleurs, de nombreuses études ont démontré que l’enseignement de l’histoire, et particulièrement l’histoire nationale, est nettement inadéquat au Québec. Des personnalités québécoises de tous les milieux, dont Richard Desjardins, Denise Filiatrault, Micheline Lachance, Les Cowboys Fringants, Pierre Karl Péladeau, Philippe Falardeau, Josée Legault, Gilles Proulx et Julie Snyder ont signé la pétition de la Coalition pour l’histoire qui demandait à la ministre de l’Éducation «de faire un redressement majeur, et ce, dans tous les ordres d'enseignement pour (…) faire la promotion de l'enseignement de l'histoire afin de permettre aux jeunes Québécois de toutes origines d'acquérir une meilleure connaissance de l'histoire du Québec, du Canada et de l'histoire du monde occidental et non occidental».
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| Stephen Harper et son parti représentent très bien une grande proportion des Canadiens vivant hors Québec. Ces Canadiens sont persuadés, à tort, que le Québec est la province la plus chouchoutée du Canada depuis des décennies. À ses côtés, Jean Charest peut difficilement faire croire aux Québécois que c’est une bonne chose pour le Québec de demeurer au sein de la fédération canadienne.
Lisez Les années Charest: un fédéralisme néfaste pour le Québec dans La Dépêche numéro 60 pour en savoir plus. Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section Abonnement.
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Enseignement de l'histoire nationale: la Coalition pour l'histoire appuie la ministre de l'Éducation
La Coalition pour l'histoire appuie la ministre de l'Éducation, madame Marie Malavoy, dans sa volonté de revaloriser l'enseignement de l'histoire du Québec dans notre réseau scolaire et lui offre sa collaboration.
«Il est heureux que le gouvernement québécois passe enfin à l'action», déclare le porte-parole de la Coalition, l'historien Robert Comeau, qui rappelle que trois études récentes réalisées par la Coalition démontrent que l'enseignement de l'histoire, particulièrement de l'histoire du Québec, du Canada et du fait français en Amérique, souffre de graves lacunes.
Pour la Coalition pour l'histoire, «en adoptant des mesures pour corriger la situation, la ministre de l'Éducation répondra aux attentes d'une majorité de la population comme en témoigne un sondage réalisé par Léger Marketing en avril dernier qui révèle que les Québécois sont en majorité insatisfaits de la qualité de l'enseignement de l'histoire au Québec et, dans une proportion de 87%, considèrent important qu'à la fin de leur cours secondaire, les élèves aient acquis une bonne connaissance des grands moments et des grands personnages de l'histoire du Québec, alors que le programme actuel tend à effacer cet enseignement».
Déplorant les réactions négatives du Parti libéral du Québec et de la Coalition Avenir Québec aux propos de la ministre de l'Éducation, M. Robert Comeau réaffirme que, pour la Coalition pour l'histoire, «la nécessité d'un enseignement de l'histoire de qualité, condition essentielle de la formation civique des jeunes et de l'intégration des personnes immigrantes, doit transcender toute partisannerie politique».
Rappelons que la Coalition pour l'histoire regroupe notamment l'Association des professeures et professeurs d'histoire des collèges du Québec, la Fédération des sociétés d'histoire du Québec, la Fondation du Prêt d'Honneur, la Fondation Lionel-Groulx, le Mouvement national des Québécoises et des Québécois, la Société du patrimoine politique du Québec, la Société des professeurs d'histoire du Québec, la Société historique de Montréal, la Société Saint-Jean-Baptiste de Montréal et l'Union des écrivaines et des écrivains québécois.
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| Au Centre Bell, on en fait beaucoup pour satisfaire les anglophones. Plus de détails dans les numéros 60 et 61 de La Dépêche. Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section Abonnement.
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Le commissaire aux langues officielles doit cesser d’intervenir contre le français au Québec!
Le Mouvement Québec français déplore que Graham Fraser, commissaire aux langues officielles du Canada, sorte à nouveau de son mandat et critique les mesures destinées à faire progresser le français au Québec. Les Québécois, lors de la dernière élection, ont choisi de stopper le déclin du français au Québec. Plusieurs d’entre eux ont compris d’ailleurs, et cela depuis longtemps, que la loi fédérale sur les langues officielles, adoptée sous prétexte de contrer la discrimination à l’endroit des francophones hors-Québec, a surtout servi à s’assurer du maintien des privilèges de la communauté anglophone de Montréal, vestige du règne colonial de la Grande-Bretagne. M. Fraser, un fonctionnaire fédéral, s’attaque au projet d’application de la loi 101 aux cégeps, qui constitue une des mesures les plus importantes pour contrer le déclin du français à Montréal. En comparaison, advenant que cette mesure soit réalisée, les services scolaires et universitaires francophones dans le reste du Canada continueraient à être beaucoup moins disponibles, non seulement pour les allophones, mais pour la faible proportion de francophones hors-Québec qui n’ont pas encore été assimilés. Le réseau collégial anglophone reçoit deux fois plus de financement que la part du poids démographique des anglophones au Québec le justifie. En ce qui a trait au réseau universitaire anglophone, cette proportion est triplée, sinon quadruplée. Quoi qu’en dise M. Fraser, l’anglais se porte très bien partout au Québec alors que le français recule.
Tous les rapports du commissaire aux langues officielles démontrent que la résistance à l’utilisation du français est persistante et quotidienne dans toutes les sphères de l’état fédéral. Si le Canada avait à coeur la survie du français, il y a longtemps qu’il aurait respecté la volonté des Québécois de faire du français la langue commune sur le seul territoire qui ait pu, souvent dans des conditions difficiles, résister au rouleau compresseur de l’anglicisation.
La réalité que M. Graham Fraser nous cache c’est que la loi canadienne sur les langues officielles est une fausse politique de défense des minorités, qui sert dans les faits à perpétuer en douce l’oppression linguistique des francophones en général et des Québécois en particulier.
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| Des microbillets de joueurs de baseball du Canada anglais révèlent qu'ils peuvent parfois trouver les Québécois sympathiques. Plus de détails dans La Dépêche no 60. Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section Abonnement.
| Liens d'intérêt
Médias anglophones Des médias diabolisent les souverainistes
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The Montreal Canadiens Un club qui met sur la glace la fierté québécoise
Microbillets Des gazouillis de joueurs de baseball révélateurs
Anglicisation du Québec Les libéraux ont manipulé les données linguistiques
Anglicisation du Québec Des services unilingues anglais dans de nombreuses institutions de santé
Le DGE «homme de main» du Parti libéral du Québec. Des articles à lire dans les numéros 61, 60 et 56 de La Dépêche. Aussi à lire dans notre édition numéro 60 de septembre 2012, le bilan des années Charest: À l'ombre d'Harper, un fédéralisme néfaste pour le Québec. Pour vous procurez un ancien numéro de La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT.
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