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| Produits biologiques Gain majeur sur le financement de la norme biologique
| COMMUNIQUÉ - 15/05/23
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| Les tricheries de QS en campagne électorale ne datent pas d'hier. Déjà en 2018, QS avait fait tout un coup sournois au PQ le jour du vote dans la circonscription de Rouyn-Noranda - Témiscamingue.
| Sébastien Lemire, député d’Abitibi-Témiscamingue, et Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi - Baie-James - Nunavik-Eeyou, se réjouissent de voir le gouvernement s’engager à financer la révision quinquennale de la norme biologique que le Bloc Québécois demande depuis longtemps.
La norme biologique permet de déterminer les normes de production des produits biologiques. Jusqu’à tout récemment, le fédéral s’entêtait à refiler la facture aux producteurs.
«Il indiquait que la norme était privée. Il a finalement fait volte-face pour soutenir un secteur dont les pratiques environnementales sont bénéfiques pour toute la société. L’industrie biologique est novatrice, très présente au Québec, et mérite d’être adéquatement soutenue et bien encadrée. Dans un contexte de changements climatiques, le biologique est un des modèles déjà bien ancré dans des pratiques durables», ont fait savoir les deux députés par voie de communiqué le 10 mai dernier.
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| Si on rapporte souvent des cas de traitement injuste envers des athlètes québécois au Canada anglais, on n'a pas ce genre d'exemples au Québec. Les athlètes du Canada anglais peuvent performer dans un climat loyal au Québec comme lors du Championnat canadien de la petite ligue senior à Rouyn-Noranda.
| Des interrogations touchant aussi l’édition génomique ont été soulevés par les députés notamment sur le plan de la transparence.
L’édition génomique consiste à effectuer une modification génétique chez une plante ou un animal. Par exemple, une tomate contient des gènes non actifs lui permettant d’être épicée. Grâce à l’édition génomique, cela permet d’activer ces gènes afin de produire des tomates épicées.
Un autre exemple consiste à prendre une gène qui empêche une patate de noircir lors d’un impact et de l’introduire dans un autre type de patate.
«Nous observons que des mesures sont mises en place pour assurer la déclaration de la présence de semences issues de l’édition génomique dans les produits alimentaires. C’est indispensable pour que les producteurs et les consommateurs puissent faire un choix éclairé. Il nous apparaît toutefois essentiel que cette transparence soit obligatoire et supervisée par l’État. Actuellement, nous sommes plutôt devant une mesure volontaire en vertu de laquelle un comité, composé des producteurs biologiques, l’industrie de l’édition génomique et l’État, assurera une surveillance, mais où on laisse l’industrie administrer la notion de transparence», explique Sébastien Lemire.
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| L'équipe du Québec triomphe plus que jamais en territoire pouvant être difficile lors des Jeux du Canada 2023 à l’Île-du-Prince-Édouard.
| «Afin de protéger notre chaîne de production et de consommation alimentaire, nous persistons à croire que l’État doit gérer le processus de transparence et que celui-ci doit être obligatoire. Nous surveillons de très près la mise en place de ce comité et le processus d’évaluation annuelle, considérant la proximité des groupes ne voulant pas d’une transparence gérée par l’État avec les acteurs gouvernementaux», rappelle M. Lemire. Les consommateurs et consommatrices, l’Union des producteurs agricoles et le gouvernement du Québec demandent toujours que la transparence soit imposée dès aujourd’hui: «Les producteurs et productrices biologiques ont besoin de connaître les sources de leur approvisionnement et les citoyens et citoyennes sont en droit de savoir ce qui se trouve dans leur assiette, y compris en ce qui concerne les produits issus de l’édition génomique. Nous ne voulons pas interdire cette technologie, nous voulons l’encadrer et assurer l’information à la population et aux producteurs et productrices, et ainsi contribuer à un meilleur avenir pour chacun», souligne Sylvie Bérubé, députée d’Abitibi - Baie-James - Nunavik-Eeyou.
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La Dépêche bientôt de retour sous un nouveau modèle d'affaire, mais toujours sur papier glacé
Suite à la pandémie de COVID-19, La Dépêche a suspendue temporairement la publication du magazine sur papier glacé et se trouve présentement en pleine restructuration.
Le nouveau modèle d'affaire conservera assurément le support sur papier glacé : un véhicule d'information plus écologique, plus sécuritaire pour combattre les fausses nouvelles et plus bénéfique pour la santé que jamais! Bref, un média traditionnel distinctif et ainsi... plus crédible.
Par ailleurs, l'entreprise témiscabitibienne estime actuellement pouvoir reprendre la publication de nouveaux numéros de La Dépêche à l'automne 2023 sur des assises tenant compte des nouvelles réalités économiques engendrées par la pandémie. Ce grand retour devrait se faire en association avec la nouvelle version du Panier Bleu du gouvernement du Québec.
La Dépêche numéro 80 consacre sa page couverture à la relance de l'usine de pâte kraft à Lebel-sur-Quévillon et en profite pour remettre les pendules à l'heure concernant l'impact des nouvelles technologies de l'information sur l'écologie de notre planète et sur notre santé.
Un grand dossier étoffé sur l'avenir prometteur du papier soutenu par une multitude d'experts du monde de l'économie, de la santé et des nouvelles technologies. À lire dans La Dépêche numéro 80.
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La Dépêche numéro 79 vous propose de découvrir quelques-uns des films de la 38e édition du Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue. D'ailleurs, La Dépêche consacre sa page couverture au long métrage Une manière de vivre tourné, entre autres, à Radisson. Une occasion de se rappeler l'importance qu'occupe la Baie-James dans notre «manière de vivre» au quotidien.
Aussi, à ne pas manquer dans La Dépêche numéro 79, la suite de nos reportages sur les belles routes du Témiscamingue. Dans cette édition, parcourez la route entre Angliers et la baie l'Africain.
Puis, poursuivez notre tour du monde avec une vision témiscabitibienne. Dans cette édition, destination: l’immensité de l’océan Pacifique et ses îles paradisiaques, mystérieuses et légendaires comme l’île de Pâques, l’îlot de Pitcairn et les îles soeurs de Moorea et de Tahiti.
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La Dépêche numéro 78 vous propose une édition spéciale sur l'enseignement collégial dans notre région.
La diversification de la clientèle que connaît le Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue depuis les dix dernières années est tout à fait nouvelle et exceptionnelle.
Mais qu'est-ce qui attire ces étudiants internationaux tout comme ceux des premières nations?
Un dossier éducation qui débute par un tour d'horizon des principales caractéristiques de notre institution cinquantenaire qui est, de surcroît, aujourd'hui plus que jamais, au service de son milieu d'appartenance.
Un grand dossier éducation de huit pages à lire absolument dans La Dépêche numéro 78.
La Dépêche numéro 77 vous propose la grande conclusion, sur six pages, de notre reportage sur un homme d'une endurance hors du commun: Pierre Gaultier de La Vérendrye.
Quelle belle histoire que celle de la famille de Pierre Gaultier de La Vérendrye qui oeuvra pour la Nouvelle-France avec une constance aussi réelle que celle caractérisant Samuel de Champlain!
Après s’être illustré héroïquement sur les champs de bataille en Europe et après des années passées à cultiver ses terres peu favorables de La Vérendrye (cf. La Dépêche numéro 76), il décide à 42 ans de changer de carrière. Il est à l’aube d’une fabuleuse troisième vie.
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Dans La Dépêche numéro 68, Michel La Veaux nous parle plus en profondeur de son documentaire Hôtel La Louisiane.
Pour en savoir plus sur les personnages de son film et sur ce lieu magique dont les valeurs humaines qui s’en dégagent peuvent nous inspirer, procurez-vous La Dépêche édition 68.
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Présent en 2015 au Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue pour Là où Atilla passe..., Roy Dupuis était également au Festival en 2014 pour présenter le film Ceci n'est pas un polar.
Toujours attaché à l'Abitibi-Témiscamingue où il est né, plus précisément à Amos, Roy Dupuis a bien voulu s'entretenir avec La Dépêche de choses et d’autres dans une entrevue exclusive que vous pouvez lire dans notre édition numéro 66.
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