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Intégration des immigrants
Coupes massives dans la francisation en entreprises
COMMUNIQUÉ  -  23/02/16

PHILIPPE COUILLARD
 
 

Tous les ouvriers québécois devraient savoir parler anglais juste au cas où un client anglophone surgirait sur les planchers des usines, prônait Philippe Couillard lors d’un débat électoral. Plus de détails ici ou lisez le reportage intégral dans La Dépêche numéro 67.
  

La Société Saint-Jean-Baptiste (SSJB) de Montréal, qui a commandité la récente étude publiée par l’IREC sur les graves ratés en matière de francisation des personnes immigrantes, dénonce fortement l’amputation par Québec de la moitié des ressources dédiées à la francisation en entreprises, tel que rapporté au début du mois de février dans le quotidien Le Devoir.

Pour le Président général de la SSJB, Maxime Laporte: «C’est irresponsable! Que les démissionnaires de la langue, démissionnent!»


Gilles Duceppe
 
 

Malgré la vague libérale qui a déferlé sur tout le Canada, Gilles Duceppe a réussi à faire mieux que les Libéraux et les Conservateurs n’avaient fait au Québec aux élections de 2011. Lisez les détails de l'article ici ou le reportage intégral dans La Dépêche numéro 68.
Inclure et franciser les Néo-Québécois
«L’un des devoirs les plus sacrés d’un élu québécois consiste à protéger et à promouvoir notre langue commune, le français. Notre gouvernement national est responsable de tout mettre en œuvre pour inclure et franciser les Néo-Québécois», estime Maxime Laporte.

«Or, en privilégiant les intérêts du patronat au détriment de ceux de notre cohésion sociale, linguistique et nationale, – vecteur de notre richesse collective, l’austérité libérale nous anglicise et nous appauvrit. Avec le projet de loi 77, la Ministre Weil sacrifie la francisation des immigrants sur l’autel du néolibéralisme.»


PHILIPPE COUILLARD
 
 

Le Parti libéral du Québec semble considérer l’immigration comme un moyen de consolider honteusement sa base électorale anglophone. Plus de détails ici ou lisez le reportage intégral dans La Dépêche numéro 67.
  
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200 000 Néo-Québécois, ne parlent pas français
«Les résultats de l’étude de Jean Ferretti ne sont-ils pas suffisamment révélateurs?», questionne monsieur Maxime Laporte.

«200 000 Néo-Québécois, surtout établis dans la région métropolitaine, ne parlent pas français. De ce nombre, 80% parlent anglais! De plus, entre 1997 et 2010, la proportion de travailleurs du secteur privé exerçant leur métier généralement ou uniquement en français sur l’Ile de Montréal, a chuté de 62,5% à 43,7%, une diminution de plus de 30% en moins de 13 ans.  Et d’après les projections du réputé démographe Marc Termote, d’ici l’an 2056, la proportion de locuteurs parlant le plus souvent le français à la maison chutera d’environ 82% en 2006 à 73% au Québec, et de 52,4% à 42,3% sur l’Ile de Montréal. Cela dit, à constater les orientations que prend le gouvernement du Québec, cette proportion diminuera certes encore plus rapidement que prévu.»


Pierre-Karl Péladeau
 
 

Pierre-Karl Péladeau est un négociateur redoutable, rendant ainsi plus improbable que le Canada anglais puisse abuser les Québécois une dernière fois. Lisez les détails de l'article ici ou le reportage intégral dans La Dépêche numéro 68.
Nous payons pour notre propre anglicisation
«Le pire sans doute, c’est que nous, les contribuables, payons pour notre propre anglicisation. Notre gouvernement national offre la plupart de ses services en anglais aux nouveaux arrivants; il sur-finance les institutions de langue anglaise; il permet la bilinguisation de nos institutions de santé; il compte plus de 135 000 emplois bilingues dans sa fonction publique… Et c’est sans compter les coupes à l’Office québécois de la langue française, les coupes en francisation, les coupes en éducation, la démission totale des dernières années face à Ottawa, eu égard notamment à la Cour suprême dans l’affaire des écoles passerelles, à l’absence de revendications en matière de compétences en immigration ou quant à l’application de la loi 101 aux entreprises privées de compétence fédérale…

«Il est temps qu’on se réveille! Le Québec français doit se réveiller! Allez, debout!», a lancé monsieur Laporte.


LA DEPECHE NUMERO 68À lire dans La Dépêche numéro 68, le premier de trois grands reportages sur la route de la Baie-James.

Plus, la suite de notre série sur les rois de France et l'Amérique du Nord avec la première partie du règne de Louis XIV.

Et ne manquez pas la conclusion de notre longue série d'articles sur Louis Hémon dans le cadre du 100e anniversaire de la toute première publication de Maria Chapdelaine.

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