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Bilan des libéraux après 2 ans
Le gouvernement libéral n’a jamais livré la marchandise
COMMUNIQUÉS  -  10/04/16

Pierre-Karl Péladeau
 
 

Pierre-Karl Péladeau est un négociateur redoutable et le Canada anglais en a peur. Lisez les détails de l'article ici ou le reportage intégral dans La Dépêche numéro 68.
À l’occasion du deuxième anniversaire du gouvernement libéral le 7 avril dernier, le chef de l’opposition officielle, Pierre Karl Péladeau, a tenu à rappeler qu’en 2014, le chef libéral Philippe Couillard s’est fait élire en promettant essentiellement deux choses: être le gouvernement de l’économie, et changer le Parti libéral pour qu’il forme le gouvernement le plus transparent et le plus respectueux de l’éthique de l’histoire. Or, force est de constater qu’il a failli dans tous ces domaines. «Le Parti libéral est devenu le parti de l’échec, autant sur le plan de l’économie que sur celui de l’éthique», estime-t-il.

«Le 7 avril 2014, le Parti libéral de Philippe Couillard a été élu en promettant de créer 250 000 emplois, de réduire le fardeau fiscal de la classe moyenne et des familles, et d’être le gouvernement le plus transparent de l’histoire. Deux ans plus tard, les Québécoises et les Québécois sont en colère. Le gouvernement apparaît complètement désorganisé et déconnecté de la population: promesses brisées, gestes d’incompétence et cafouillages se sont accumulés. Nous constatons que, malheureusement, le Parti libéral du Québec n’a pas changé», a ajouté le chef de l’opposition.


PHILIPPE COUILLARD
 
 

La bonne entente entre Philippe Couillard et Stephen Harper semblait être sans borne. La Dépêche numéro 66 vous propose différents textes qui en révèle l'ampleur.
  
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«En ce qui a trait à la défense des intérêts du Québec, l’inaction du gouvernement de Philippe Couillard fait énormément de tort. Systématiquement, le premier ministre se range du côté d’Ottawa, ou alors il n’ose pas demander quoi que ce soit. Nous n’avons rien obtenu pour l’industrie forestière ni pour Bombardier, alors que le fédéral continue d’investir des millions dans l’industrie automobile ontarienne. Nous n’avons aucune entente pour annuler la réduction des transferts fédéraux en santé. Et nous attendons toujours une entente pour le versement en bloc et sans aucune condition des fonds de Chantiers Canada dédiés aux infrastructures locales», a-t-il illustré.

«Devant l’insensibilité du gouvernement quant aux effets des coupes et de l’abandon des régions, l’incohérence des hausses de salaire faramineuses accordées aux médecins au détriment des patients alors que les familles payent toujours plus, l’acharnement à défendre l’indéfendable dans les dossiers d’éthique et l’incompétence économique de ce gouvernement, nous demandons: où est le premier ministre?», a poursuivi le chef de l’opposition officielle.

«Nous demandons à Philippe Couillard de gouverner pour tous les Québécois. Entre autres choses, il doit remettre le Québec sur la voie de la croissance. Il y a urgence», a conclu Pierre Karl Péladeau.


PHILIPPE COUILLARD
 
 

Tous les ouvriers québécois devraient savoir parler anglais juste au cas où un client anglophone surgirait sur les planchers des usines, prônait Philippe Couillard lors d’un débat électoral. Plus de détails ici ou lisez le reportage intégral dans La Dépêche numéro 67.
  

Prolongement de la route 138: une fausse promesse du gouvernement Couillard?
Il y a un an, le 8 avril 2015, le premier ministre du Québec, M. Philippe Couillard, dévoilait les grandes lignes de son «Plan Nord à l'horizon 2035». Dans une ambiance festive à Montréal et à des milliers de kilomètres des communautés du Nord, il annonçait en grandes pompes ce qu'il qualifiait de «principes fondamentaux de développement adaptés aux réalités des communautés autochtones et respectant les priorités qu'elles se sont données».

Dans une lettre datée du 7 mai 2015 adressée au Chef Denis Mesténapéo, Philippe Couillard exprimait sa fierté d'être partenaire du projet de construction d'un tronçon de 35 km de la route 138 entre La Tabatière et Tête-à-la-Baleine avec les Innus de Pakua Shipi, contribuant ainsi au développement économique et social et à la formation de la jeunesse Innue par la mise en place d'un chantier-école.

Malgré des rencontres et des demandes répétées auprès du gouvernement et de ses représentants pour leur rappeler l'importance de respecter leurs promesses, force est de constater que rien n'a encore bougé et rien n'indique que le gouvernement respectera sa volonté de contribuer de façon concrète au développement de Pakua Shipi et de sa jeunesse.

«Cet investissement de 232 millions $ pour le prolongement la route 138 représentait l'annonce tant attendue par les membres de ma communauté et le fruit du travail accompli au cours des dernières années, sous mon leadership, pour mener à terme notre proposition de chantier-école. Notre enthousiasme, porté par ces belles paroles du premier ministre, nous permettait enfin de redonner espoir à nos jeunes qui rêvent depuis trop longtemps d'emplois, de formation, de prise en charge et de conditions de vie acceptables», a déploré le Chef Denis Mesténapéo.


PLQ ET CORRUPTION
 
 

Même si le Parti libéral du Québec a souvent été associé à la corruption ces dernières années, la plupart des électeurs fédéralistes demeurent unis et fidèles; l’unité canadienne le justifie. Les détails dans La Dépêche numéro 65.
  
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«Alors que nous avons convenu d'un projet de société pour relever nos conditions socioéconomiques et que nous avons choisi la voie de l'autonomie, devons-nous comprendre que monsieur Couillard nous laisse tomber, qu'il nous a menti? Combien de fois encore vais-je devoir répéter aux jeunes de ma communauté qui viennent cogner à ma porte de patienter? J'ai beau me répéter, mais il arrive un temps où les jeunes perdent l'espoir qui les gardent sur le bon chemin. Je vis constamment avec ce poids sur mes épaules et à titre de chef de ma communauté, je ne laisserai aucun gouvernement donner de faux espoir à mes jeunes. Je me battrai jusqu'au bout», a affirmé le Chef Mesténapéo.

Les objectifs des Innus de Pakua Shipi en termes de formation, de développement économique et d'employabilité pour les communautés autochtones et non-autochtones de la région de la Basse-Côte-Nord font consensus et ont reçu l'appui du milieu, incluant M. Randy Jones, maire de Gros-Mécatina.

«Le désenclavement de la Basse-Côte-Nord représente un chantier qui s'échelonnera sur une période de 10 ans et rendra service à tout le monde. Il n'y a rien de plus cruel que de faire des promesses à des jeunes et de ne pas respecter sa parole. Le gouvernement a l'obligation de s'engager rapidement à mettre en place le chantier-école tel que proposé par la communauté innue de Pakua Shipi», a déclaré le maire Jones.

«Qu'attend le gouvernement Couillard pour passer de la parole aux actes?», se questionne en conclusion le Conseil des Innus de Pakua Shipi.

LA DEPECHE NUMERO 60Malgré ses tentatives de diversion, le Parti libéral du Québec a beaucoup de difficultés à se dissocier de l'image de corruption qui l'afflige. Pour plus de détails, lisez dans La Dépêche numéro 60 l'éditorial Bilan des années Charest : un fédéralisme néfaste pour le Québec.

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