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Souveraineté alimentaire
Développement des appellations réservées et des termes valorisants
COMMUNIQUÉS DE PRESSE  -  07/06/13

François Gendron à la tête d'une mission en Chine
 
 

La Dépêche revient sur la mission économique dirigée par François Gendron en Chine dans son édition no 62. Pour plus de photos et de détails, procurez-vous le numéro spécial 15e anniversaire de La Dépêche numéro 62.
  
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Dans le sillage du dévoilement de la première Politique de souveraineté alimentaire, le vice-premier ministre et ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, M. François Gendron, a présenté le 6 juin dernier le nouveau Programme d'appui au développement des appellations réservées et des termes valorisants (PADARTV). Ce programme, qui appuie la mise en valeur des aliments du Québec et de leurs caractéristiques, est assorti d'une enveloppe budgétaire de plus de 1,6 million de dollars pour la période 2013-2016.

«Il ne fait aucun doute que les appellations réservées contribuent à forger cette identité forte des aliments du Québec, qui est un axe important de la Politique de souveraineté alimentaire. C'est un élément porteur pour l'avenir et nous entendons soutenir les initiatives qui permettront de faire rayonner nos trésors gourmands comme ils le méritent, que ce soit ici ou à l'étranger», a déclaré le ministre.

Modifications au Programme
Pour favoriser la création de nouvelles appellations réservées et de nouveaux termes valorisants et pour offrir un meilleur accompagnement aux entreprises, le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ) propose une version améliorée du PADARTV. Les modifications qui ont été apportées découlent notamment des commentaires formulés par des partenaires du milieu et des membres d'entreprises participant à la démarche de reconnaissance.

Le nouveau programme permettra maintenant d'appuyer l'acquisition et la diffusion de connaissances sur les appellations réservées et les termes valorisants afin d'en favoriser le développement et la notoriété. L'atteinte de cet objectif pourrait passer par l'organisation de colloques, de conférences ou de séances de formation animés par des experts versés en la matière et par la conduite de travaux de recherche portant, entre autres choses, sur la réalisation d'analyses économiques propres aux appellations réservées, sur les chaines de valeur qui seront développées et sur la détermination de produits présentant un potentiel intéressant quant à l'obtention d'une appellation réservée ou d'un terme valorisant.

Grâce au PADARTV, il sera également possible de soutenir les regroupements d'entreprises dans l'amélioration continue de la gestion collective de l'appellation réservée ou du terme valorisant. La mesure mise en avant permet notamment le remboursement d'une partie des dépenses liées à la gestion de l'appellation réservée ou du terme valorisant ou au budget de fonctionnement du regroupement ou ayant trait à l'amélioration de la mise en marché des produits bénéficiant d'une appellation réservée ou d'un terme valorisant.

«La nécessité de mettre en valeur les produits alimentaires obtient un large consensus au sein de l'industrie bioalimentaire. Dans ce contexte, la Loi sur les appellations réservées et les termes valorisants constitue l'outil par excellence pour protéger et promouvoir le savoir-faire québécois et rassurer les consommateurs en attestant l'authenticité et la qualité des produits qu'ils achètent», souligne M. François Gendron.

Une nouvelle appellation réservée : Cidre de glace du Québec
Signalons que le ministre a profité de l'occasion pour confirmer que le «Cidre de glace du Québec» pourrait bientôt rejoindre l'«Agneau de Charlevoix» et le mode de production «Biologique» dans le registre des appellations réservées reconnues au Québec. Le processus qui mènera à cette reconnaissance a été lancé le 5 juin par le Conseil des appellations réservées et des termes valorisants. D'autres projets forts prometteurs sont actuellement à l'étape de l'analyse, par exemple le «Fromage au lait de vache de race canadienne», la «Volaille Chanteclerc de tradition» et le «Maïs sucré de Neuville».

Pour plus ample information sur le Programme d'appui au développement des appellations réservées et des termes valorisants, visitez le site Internet du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (www.mapaq.gouv.qc.ca/appellation). Pour en savoir plus sur la Politique de souveraineté alimentaire, consultez régulièrement le blogue qui lui est consacré (www.PolitiqueSA.gouv.qc.ca ou visitez le site Internet www.mapaq.gouv.qc.ca/PolitiqueSA. Il est aussi possible de suivre le MAPAQ sur Twitter à l'adresse électronique suivante: twitter.com/mapaquebec.


BERNARD FLEBUS
 
 

Découvrez Bernard Flebus l'immigrant, l'homme d'affaires et le maire dans une entrevue exclusive à lire dans La Dépêche numéro 56.
  
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Consultation publique sur le projet d'indication géographique protégée «Cidre de glace du Québec»
Par ailleurs, le ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation et le Conseil des appellations réservées et des termes valorisants (CARTV) invitent les personnes et les organisations qui désirent faire connaître leur opinion sur la demande de reconnaissance de l'indication géographique protégée (IGP) «Cidre de glace du Québec» à prendre part à une consultation publique qui se tiendra à compter du 13 juin 2013 pour une durée de 45 jours.

La Loi sur les appellations réservées et les termes valorisants prévoit que le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation du Québec, sur la recommandation du Conseil, peut reconnaître une appellation et en réserver l'utilisation pour les produits certifiés par un organisme accrédité en vertu de la Loi. En outre, le Règlement sur l'examen des demandes de reconnaissance d'appellations précise qu'une consultation publique est obligatoire avant que le Conseil ne se prononce sur la recommandation à faire au ministre à propos de l'appellation demandée.

«Il aura fallu plusieurs années de travail, initié par les Cidriculteurs artisans du Québec (CAQ), pour que l'industrie du cidre de glace parvienne à établir le cahier des charges qui définit le mieux le produit dont elle veut protéger l'appellation. La consultation publique constitue l'étape ultime de validation de ce consensus» souligne Mme Anne-Marie Granger-Godbout, présidente-directrice générale du Conseil des appellations réservées et des termes valorisants.

À cet égard, le cahier des charges de l'IGP «Cidre de glace du Québec» de même qu'une fiche résumé qui en reprend les points importants sont mis à la disposition des intéressés sur le site Web du CARTV: www.cartv.gouv.qc.ca/igp-cidre-glace-quebec. Toute l'information sur le processus de consultation y est également publiée.

Si vous désirez soumettre une observation à propos de la demande de reconnaissance de cette IGP, vous avez jusqu'au 27 juillet 2013 pour adresser un avis motivé.

Par la poste:
Consultation publique IGP « Cidre de glace du Québec »
À l'attention du secrétaire du Comité des appellations territoriales
201, boulevard Crémazie Est, bureau 4.03
Montréal (Québec) H2M 1L2

Par télécopieur :
514 873-2580

Par courriel :
consultationspubliques@cartv.gouv.qc.ca

Après avoir analysé les résultats de la consultation publique, homologué le cahier des charges et statué sur l'accréditation d'un organisme de certification, le Conseil des appellations réservées et des termes valorisants transmettra au ministre sa recommandation sur l'opportunité de reconnaître l'appellation «Cidre de glace du Québec».


LACTOSERUM
 
 

La Vache à Maillotte a investi un million de dollars dans une usine de conversion d’énergie visant à réduire ses frais de chauffage, mais surtout, les gaz à effet de serre. À lire dans La Dépêche numéro 56.
  
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Pour une occupation dynamique du territoire
D'autre part, toujours dans la foulée du lancement de la Politique de souveraineté alimentaire,  le vice-premier ministre et ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, M. François Gendron, invite les municipalités régionales de comté (MRC) situées en dehors des communautés métropolitaines à soumettre une proposition pour l'élaboration d'un plan de développement de la zone agricole (PDZA). Les MRC dont les projets se qualifieront obtiendront une aide financière pouvant atteindre 50% des dépenses admissibles, jusqu'à concurrence de 40 000 dollars.

«La planification territoriale issue des projets de PDZA permet de réunir autour d'une même table les acteurs concernés par l'agriculture afin de déterminer des moyens innovateurs d'exploiter pleinement et durablement leur zone agricole. C'est une formule qui a des effets bénéfiques et concrets et il y a lieu d'encourager toutes les MRC à se doter d'un tel plan», a indiqué M. François Gendron.

Actuellement, plus de 30 MRC ont entamé ou terminé la réalisation de leur PDZA. Concrètement, les PDZA permettent de mettre en valeur les entreprises agricoles et leurs produits, d'accroître ou de diversifier les activités, de favoriser la multifonctionnalité de l'agriculture et d'accentuer le développement d'activités complémentaires de l'agriculture, comme l'agrotourisme ou la transformation alimentaire à la ferme.

«Au moment du lancement de la Politique de souveraineté alimentaire, nous avons signifié notre volonté d'étendre la réalisation des PDZA à l'ensemble des MRC. Cela fait partie des actions concrètes qui seront mises en oeuvre pour atteindre les objectifs que nous avons fixés en matière d'occupation dynamique du territoire. Je suis convaincu que les MRC sauront s'entourer de toutes celles et ceux qui ont le développement agricole à coeur», a conclu le ministre.

Pour obtenir plus de renseignements sur la présentation d'un projet pour la réalisation d'un PDZA, consultez le site Internet du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation:
(www.mapaq.gouv.qc.ca/PDZA).


GILLES CHAPADEAU
 
 

«Notre marché intérieur qui n’utilise pas assez le bois doit être encouragé», estime monsieur Gilles Chapadeau. Pour en savoir plus La Dépêche numéro 60 vous propose un DOSSIER FORESTIER complet pour faire le point sur cette importante industrie au Québec qui a encore un avenir très prometteur.
  
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La pensée agricole du
Parti Libéral du Québec:

sans goût, sans saveur et sans avenir
Le vice-premier ministre et ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, M. François Gendron, est estomaqué d'apprendre que, pour le Parti libéral du Québec (PLQ) de M. Philippe Couillard, l'industrie agroalimentaire québécoise est sans goût, sans saveur et sans avenir.

Le député de Huntington, porte-parole de l'opposition officielle en matière d'agriculture et de pêcheries et président de la prochaine campagne électorale pour le PLQ, M. Stéphane Billette, a repris, commenté et appuyé une chronique de Mme Lysiane Gagnon du quotidien La Presse par l'entremise du réseau social Twitter. Cette chronique, publiée le 30 mai dernier et intitulée «La vie sans huile d'olive», contient des affirmations grossières et absolument erronées.

Ainsi, selon Mme Gagnon et M. Billette, les tomates en conserve provenant d'Italie seront toujours plus goûteuses que les tomates de serre québécoises; la gestion de l'offre oblige la consommation de volaille et d'oeufs du Québec au goût insipide; l'industrie alimentaire québécoise n'a rien de distinctif et participe au sous-développement du tiers monde et les fromages artisanaux québécois coûtent deux fois plus cher qu'un bon fromage français.

«C'est aberrant et absolument inacceptable. Je demande au chef libéral Philippe Couillard de se dissocier de son député. Ce dernier doit s'excuser auprès des 475 000 personnes qui travaillent d'arrache-pied quotidiennement pour mettre sur le marché des produits d'une qualité sans égale. Nous ne pouvons laisser le député salir le travail qu'ils font avec passion», a déclaré M. François Gendron.


LA FOSSE SIGMA LAMAQUE À VAL-D'OR
 
 

Dans son numéro 61, La Dépêche publie une entrevue avec Mme Martine Ouellet ainsi qu'une entrevue avec le v.-p. Finances d'Osisko, M. Bryan A. Coates, qui semblait avoir oublié les promesses faites aux Valdoriens concernant la fosse Sigma-Lamaque.
  
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Solidarité rurale du Québec salue le dépôt de la Politique de souveraineté alimentaire
Solidarité rurale du Québec salue le gouvernement du Québec pour le lancement de la Politique de souveraineté alimentaire, attendue depuis longtemps. Le milieu agroalimentaire fait face depuis plusieurs années à des défis de taille; il était devenu nécessaire que le Québec se dote d'une vision renouvelée et d'un véritable contrat social pour répondre à nos besoins alimentaires. Le dépôt de cette politique est une belle démonstration de l'ouverture au dialogue et de l'intention du gouvernement à aller plus loin en mettant en place des piliers importants pour faire progresser l'agriculture sur le territoire québécois. La vision sur laquelle s'appuie cette nouvelle politique confirme l'importance de ce secteur pour le Québec.

«Nous nous réjouissons que le gouvernement québécois travaille à redynamiser ce secteur clé de l'économie, essentiel au développement des milieux ruraux. La valorisation de la production et de l'achat local est à la base de l'habitation et du développement dynamique et durable de nos territoires. Cela se fera en mettant de l'avant de nouveaux modèles de développement aptes à répondre à ses besoins de plus en plus nombreux et différents. La politique participera à mettre de l'avant une agriculture accessible et fortement ancrée dans les territoires. Au-delà de sa fonction nourricière, l'agriculture joue également un rôle essentiel dans la transmission de l'héritage culturel, la participation au tourisme vert, la conservation des terroirs, la vitalité des territoires, pour n'en nommer que quelques-uns, d'où l'importance de la mettre en valeur et d'appuyer son développement», souligne Claire Bolduc, présidente de Solidarité rurale du Québec.

Déjà en 2007, Solidarité rurale du Québec suggérait d'orienter les actions pour soutenir l'agriculture afin de garantir la souveraineté alimentaire à la population et l'occupation du territoire. D'ailleurs, en 2010, dans son Avis sur l'Occupation des territoires, Solidarité rurale du Québec recommandait, entre autres, de mettre en valeur les circuits courts, d'encourager l'adoption de politiques d'achat des produits québécois par le gouvernement et d'encourager la transformation locale dans une perspective où les communautés peuvent se développer selon une approche qui renforce leur capacité à innover et à prendre en charge leur développement durable. La mise en place d'une politique de souveraineté alimentaire constitue un premier pas pour le développement des secteurs de l'agriculture et de l'alimentation durables au Québec.



LE NORD POUR TOUS
 
 

En septembre 2008, Jean Charest fait une présentation spectaculaire du Plan Nord (aujourd'hui Le Nord pour tous) quelques semaines avant de déclencher des élections générales. Plus d’un an plus tard, on apprendra que le Plan Nord n’existe pas. Pour plus de détails, procurez-vous le numéro spécial 15e anniversaire de La Dépêche numéro 62 avec son calendrier régional éphémérides.
  
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Souveraineté alimentaire: le Québec se dote enfin d'une vision à long terme en agriculture
La Fédération québécoise des municipalités (FQM) accueille favorablement l'annonce faite le 16 mai dernier par la première ministre du Québec, Mme Pauline Marois,  et le ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, M. François Gendron, de la Politique de souveraineté alimentaire du Québec.

Pour le vice-président de la FQM, M. Richard Lehoux, «il faut se réjouir de voir le Québec se doter d'une vision à long terme pour le secteur de l'agriculture qui, en plus de procurer des milliers d'emplois partout en région, s'avère essentiel pour l'avenir de notre société.»

La FQM salue particulièrement l'axe retenu de développer un secteur bioalimentaire générateur d'emplois, respectueux de l'environnement et contribuant à l'occupation dynamique du territoire québécois. Il en va de même pour l'aide à la relève et la volonté gouvernementale de favoriser l'achat local.

Par ailleurs, la FQM souligne l'ouverture manifestée par le ministre Gendron quant à ses revendications historiques que sont l'harmonisation des usages en milieu agricole et une plus grande flexibilité dans la zone verte.  «La multifonctionnalité en territoire agricole est souhaitable et elle contribue à la vitalité des territoires. Des modifications en ce sens devront obligatoirement faire partie des changements annoncés à la Loi sur la protection du territoire agricole», fait valoir M. Lehoux.

Le déploiement de plans de développement de la zone agricole (PDZA) arrimés aux schémas d'aménagement des MRC va également dans le sens des revendications de la FQM et constituera certainement une avancée majeure.

La FQM salue la création de la Table de concertation des partenaires du bioalimentaire québécois qui lui permettra de faire valoir les préoccupations du milieu municipal en ce qui concerne l'aménagement de la zone agricole.

«Si la politique énonce des intentions intéressantes qu'il importe de saluer, la FQM veillera à ce que ces intentions se traduisent dans les faits par des actions concrètes», de conclure M. Lehoux.



François Gendron à la tête d'une mission en Chine
 
 

La Dépêche revient sur la mission économique dirigée par François Gendron en Chine dans son édition no 62. Pour plus de photos et de détails, procurez-vous le numéro spécial 15e anniversaire de La Dépêche numéro 62.
  
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Table de concertation des partenaires du bioalimentaire québécois - Les partenaires réunis pour une première fois!
Dans la foulée du lancement de la Politique de souveraineté alimentaire, la première ministre du Québec, Mme Pauline Marois, et le vice-premier ministre et ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, M. François Gendron, ont rencontré le 16 mai dernier, pour la première fois, les membres de la Table de concertation des partenaires du bioalimentaire québécois. La Table a pour mandat d'apporter un éclairage au ministre et au gouvernement sur la mise en œuvre de la nouvelle politique ainsi que sur différentes questions d'intérêt concernant le développement du secteur bioalimentaire.

«Tout en rassemblant les acteurs du milieu, la Politique de souveraineté alimentaire engendrera des bénéfices indéniables pour l'ensemble des Québécois, à la fois comme consommateurs et comme citoyens. Elle constitue un projet collectif mobilisateur qui mettra à profit, de façon durable, le potentiel du secteur bioalimentaire pour l'économie du Québec», a mentionné M. Gendron

«Le succès de la Politique repose sur la capacité du milieu à se concerter. Je suis donc très heureux du déroulement de cette première rencontre, au cours de laquelle nous avons discuté des actions prioritaires à mener pour amorcer la mise en œuvre de la Politique de souveraineté alimentaire. Une quarantaine de pistes d'action ont été proposées et les travaux de la Table ont permis de convenir des actions prioritaires à mettre en avant afin de passer rapidement à l'action», a indiqué M. François Gendron.

Précisons que la Table est composée de 22 personnes nommées par le ministre, qui préside lui-même aux travaux. Elle réunit les hauts dirigeants des organisations jugées les plus représentatives des différents maillons du secteur bioalimentaire et les partenaires intéressés de la société québécoise.

Ainsi, plus d'une quinzaine d'organisations y participent. Elles sont issues:
  • du secteur de la production et de la capture;
  • des coopératives et de la transformation alimentaire;
  • du commerce des aliments;
  • du secteur de la restauration;
  • du milieu du savoir et de l'innovation;
  • du monde municipal et rural;
  • du domaine environnemental et de celui de la représentation citoyenne.