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Démission de Pierre Karl Péladeau
«Le Parti Québécois perd un grand chef», souligne François Gendron
COMMUNIQUÉS  -  02/05/16

Pierre-Karl Péladeau
 
 

Pierre-Karl Péladeau est un négociateur redoutable et le Canada anglais en a peur. Lisez les détails de l'article ici ou le reportage intégral dans La Dépêche numéro 68.
Le député d’Abitibi-Ouest et vice-président de l’Assemblée nationale, François Gendron, se dit stupéfait à la suite de l’annonce de la démission du chef du Parti Québécois. Il tient à remercier sincèrement M. Pierre Karl Péladeau pour la contribution qu’il a apportée à la vie publique.

Ayant exercé la fonction de député pendant près de 40 ans, François Gendron est bien placé pour savoir que la politique est une activité très exigeante. Il est de notoriété publique qu’elle exige de grands sacrifices, non seulement pour les élus, mais également pour les membres de la famille.

«Je respecte le choix qu’a fait M. Péladeau. À sa face même, ce choix était déchirant. On ne peut pas se tromper quand on choisit les gens qu’on aime. En ce sens, je salue la décision qu’il a prise», a déclaré le député d’Abitibi-Ouest.

Le Parti Québécois est un grand parti politique qui a marqué profondément l’histoire du Québec. «Pierre Karl Péladeau fait partie des grands chefs qui auront eu le privilège de diriger notre formation politique», souligne François Gendron.


Gilles Duceppe
 
 

Malgré la vague libérale qui a déferlé sur tout le Canada lors des fédérales de 2015, Gilles Duceppe a réussi à faire mieux que les Libéraux et les Conservateurs n’avaient fait au Québec aux élections de 2011. Plus de détails ici ou dans La  Dépêche numéro 68.
Le Bloc Québécois
salue l’engagement de
Pierre Karl Péladeau

Dans la foulée de l’annonce du retrait de la vie politique du chef du Parti Québécois pour des raisons familiales, le chef intérimaire du Bloc Québécois, Rhéal Fortin, salue l’engagement de Pierre Karl Péladeau à faire du Québec un pays.

«Il n’y a pas d’engagement plus important que celui d’un parent envers ses enfants. M. Péladeau était placé devant un choix déchirant et a choisi sa famille. C’est une décision difficile, mais courageuse qu’il a prise aujourd’hui. Au nom du Bloc Québécois, je tiens à saluer l’engagement de M. Péladeau pour le Québec et pour son indépendance», a déclaré M. Fortin.

«M. Péladeau a souligné à juste raison l’importance du travail de dialogue entre les forces indépendantistes. Ses efforts en ce sens sont une contribution importante à l’ensemble du mouvement. C’est cette ouverture qui marquera le passage de M. Péladeau en politique, lui qui a confirmé son intention de continuer à militer pour l’indépendance du Québec», a conclu le chef intérimaire du Bloc Québécois.

LA DEPECHE NUMERO 60Malgré ses tentatives de diversion, le Parti libéral du Québec a beaucoup de difficultés à se dissocier de l'image de corruption qui l'afflige. Pour plus de détails ici ou lisez dans La Dépêche numéro 60 l'éditorial Bilan des années Charest : un fédéralisme néfaste pour le Québec.

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