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| Festival du cinéma Hôtel La Louisiane en première mondiale à Rouyn-Noranda
| LA DÉPÊCHE NUMÉRO 68 - 30/10/15
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| Michel La Veaux se sent plus fier d’être Québécois quand il est en Abitibi-Témiscamingue. Lisez son entrevue intégrale dans La Dépêche numéro 68. Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT.
| C’est dans le cadre du 34e Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue qu’on a décidé de présenter en première mondiale Hôtel La Louisiane. Un documentaire sur un lieu tout à fait magique lancé dans un festival, une ville, une région qui est pour le réalisateur synonyme de bonheur et de fierté.
Rejoint par La Dépêche alors qu'il terminait un tournage fabuleux dans le Grand Nord québécois d’un film de Benoît Pilon avec Marie-Josée Croze, l’éminent directeur photo Michel La Veaux nous a raconté en quoi l'Hôtel La Louisiane, et particulièrement sa chambre 10 qu’il a découvert il y a 15 ans, est un lieu magique dont les valeurs humaines qui s’en dégagent peuvent nous inspirer. À lire dans La Dépêche numéro 68.
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| En vedette dans Là où Atilla passe... Roy Dupuis est présent pour une 2e année consécutife au Festival. En 2014, c'était pour le film Ceci n'est pas un polar (photo ci-dessus). Voir La Dépêche numéro 66 pour une entrevue exclusive avec l'acteur. Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT.
| Dans cette entrevue, Michel La Veaux fait aussi un parallèle entre le bonheur de se retrouver en Abitibi-Témiscamingue et celui d’être dans la fameuse chambre 10 de l’Hôtel La Louisiane.
«Je le dis et je le redis, pour moi, ce que Jacques Matte avec son équipe fait pour le Festival du cinéma dans une région comme l’Abitibi... il y a personne d’autre qui a réussi à faire ça», explique Michel La Veaux avant de continuer.
«Je ne sais pas pourquoi, à chaque fois que je vais là, j'ai un sentiment de fierté. Pourtant, je suis Montréalais, mais je me sens plus fier d'être Québécois quand je suis en Abitibi qu'ici dans la grande ville où on s’en désintéresse. Quand je suis en Abitibi, je me sens très très fier d’être de ce pays là, d’être Québécois. Je n’ai aucune raçine en Abitibi, mais j’aime ce pays là. J’aime le travail, la lutte qu’on y voit. J'aime ces efforts de dire que la culture, c'est important. Je me sens bien en Abitibi. Je me sens super bien quand je vais là. Pourtant, je n'ai pas de famille là; ma famille c'est le Festival du cinéma. Le Festival du cinéma en Abitibi c'est un autre lieu de bonheur. Je me sens très heureux quand je suis chez vous.»
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| Là où Atilla passe... met en vedette Émile Schneider: un des acteurs présents au 34e Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue.
| Toujours dans cette entrevue que vous pouvez lire intégralement dans La Dépêche numéro 68, Michel La Veaux poursuit: «Cette région là appartient à mon ADN depuis l'âge de 18, 19 ans, à l’époque du premier festival de cinéma de l’Abitibi, quand j’étais jeune distributeur avec Louis Dussault [K-Films Amérique], on a trouvé dans cette terre là, un des premiers appuis à notre cinéma indépendant qu'on faisait. Jacques Matte nous a accueillis. C'est un des premiers qui a dit oui au cinéma québécois, aux jeunes cinéastes indépendants. Lui, il nous a soutenu. On s'est trouvé un territoire qui nous a dit oui, qui a fait en sorte qu'on a pu éclore, s'épanouir et évoluer. On a un sentiment d’appartenance.»
Dans La Dépêche numéro 68, Michel La Veaux nous parle plus en profondeur de son documentaire Hôtel La Louisiane.
Pour en savoir plus sur les personnages de son film et sur ce lieu magique dont les valeurs humaines qui s’en dégagent peuvent nous inspirer, procurez-vous La Dépêche édition 68.
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Présent en 2015 pour Là où Atilla passe..., Roy Dupuis était également au Festival en 2014 pour présenter le film Ceci n'est pas un polar. Toujours attaché à l'Abitibi-Témiscamingue où il est né, Roy Dupuis a bien voulu s'entretenir avec La Dépêche de choses et d’autres dans une entrevue exclusive que vous pouvez lire dans notre édition numéro 66.
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