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| Parc national d'Opémican 36 M$ pour le parc national d'Opémican au Témiscamingue
| COMMUNIQUÉ - 22/02/16
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| La route menant à Radisson (entièrement asphaltée) croise entre autres la majestueuse et historique rivière Rupert. Pour plus de détails sur la route de la Baie-James, ne manquez pas nos textes dans La Dépêche numéros 68, 69 et 70. Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT. |
Le ministre responsable des régions de l'Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec et ministre délégué aux Mines, M. Luc Blanchette, accompagné du président-directeur général de la Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq), M. John MacKay, et du directeur du parc national d'Opémican, M. Dany Gareau, annonce des investissements de 36 M$ pour l'aménagement du parc national d'Opémican, au nom du ministre des Forêts, de la Faune et des Parcs, M. Laurent Lessard.
«Je suis fier d'annoncer cet investissement majeur du gouvernement du Québec. Avec le parc national d'Opémican qui s'ajoute au parc national d'Aiguebelle, la région dispose maintenant de deux parcs nationaux qui vont créer une belle synergie pour le développement touristique de la région. De plus, nous prévoyons que quelque vingt-cinq emplois directs y seront créés. Il s'agit d'une opportunité intéressante pour des jeunes de la région. Sur une perspective de 10 ans, alors que le parc national d'Opémican aura atteint son plein potentiel, on évalue à 7,5 M$ par an les retombées économiques qu'il générera dans la région. La mise en valeur du parc national d'Opémican, c'est un levier de diversification économique et un enrichissement du développement de l'industrie touristique de toute la région», a expliqué le ministre Blanchette.
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| Le Témiscamingue veut se doter d’un modèle de résidence adapté au profil de la personne aînée. Pour plus de détails, procurez-vous La Dépêche numéro 68. Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT. |
Trois pôles thématiques Les activités seront concentrées autour de trois pôles thématiques. En plus du pôle principal, deux pôles secondaires feront l'objet d'aménagement de base. Au cœur du parc national, le premier pôle sera celui de la découverte de la Pointe-Opémican qui vise la conservation et la mise en valeur du site historique du parc. Le pôle d'aventure de la Rivière et du Lac-Kipawa sera consacré à la pratique du canot et du kayak, et le pôle nature du Lac-Marsac deviendra un lieu dédié à la pêche et au canot-camping. Pour ce faire, 10 M$ seront consacrés à la restauration des bâtiments patrimoniaux existants contribuant ainsi à la préservation et au rayonnement du patrimoine culturel de la région. À cela on ajoute des investissements de 26 M$, qui serviront à la mise en valeur et à la conservation du patrimoine naturel unique du parc national d'Opémican.
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| C'est d'un port tourné depuis toujours vers le grand large, St-Malo, qu'appareilla Jacques Cartier. À partir de La Dépêche numéro 67, lisez un rappel historique complet sur les rois de France et l'Amérique du Nord. Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT. | «La mise en place d'infrastructures de qualité au parc national d'Opémican rendra plus accessibles des secteurs de ce territoire protégé à l'ensemble de la population de la région et contribuera à bâtir, avec les intervenants régionaux, une destination touristique attrayante. On estime l'achalandage du parc à environ 25 000 jours de visite, dès les premières années d'exploitation», déclare le PDG de la Sépaq, M. John MacKay.
Pour sa part, le directeur du parc national d'Opémican, M. Dany Gareau, a tenu à préciser que la mise en valeur du parc allait déjà bon train. «Au cours de la dernière année, nous avons réalisé une planification du concept de mise en valeur. On en est à finaliser la caractérisation pour amorcer la décontamination du pôle de découverte de la Pointe-Opémican. Nous entrons sous peu dans la phase finale d'ingénierie de la route qui y mènera et nous allons construire, dès cet hiver, le pont pour lequel des appels d'offres sont déjà en cours. Par ailleurs, dès le printemps, nous allons procéder à l'embauche de quelques personnes pour supporter la mise en marche des opérations du parc», a-t-il ajouté.
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| Le Club cycliste d’Amos, qui fêtait ses 50 ans en 2015, est une autre démonstration de l'importance du cyclisme dans la région. Lisez en plus dans La Dépêche numéro 68. Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section Abonnement.
| Parc national d'Opémican
Le nom Opémican vient du mot algonquin opemikon qui signifie «le long du chemin suivi par les Amérindiens». Créé en décembre 2013 pour protéger un échantillon représentatif de la région naturelle des Laurentides méridionales, plus spécifiquement le plateau laurentidien, ce 23e parc national exploité par la Sépaq s'étend sur une superficie de 252,5 km2. Il est bordé par deux grands plans d'eau, les lacs Témiscamingue et Kipawa et protège une partie des rives du lac Kipawa, la rivière Kipawa, plusieurs lacs, cours d'eau et milieux humides, de vieilles forêts de pins et diverses espèces floristiques et fauniques, dont le faucon pèlerin, une espèce vulnérable qui niche à l'intérieur du territoire.
La Dépêche numéro 68 vous propose le premier de trois grands reportages sur la route de la Baie-James.
Aussi, la conclusion de notre longue série d'articles sur Louis Hémon dans le cadre du 100e anniversaire de la toute première publication de Maria Chapdelaine.
Consultez le sommaire pour en savoir plus sur notre édition numéro 68. Et pour vous procurer ce numéro ou tout autre ancien numéro de La Dépêche, consultez nos sections ABONNEMENT ou POINTS DE VENTE.
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