Attentat de Nice



 
 

Le tricolore en berne à l'Hôtel de ville de  Rouyn-Noranda.

C’est avec douleur et consternation que la Ville de Rouyn-Noranda réagit aux événements dramatiques survenus à Nice lors de la fête nationale des Français le 14 juillet dernier.

En signe de solidarité envers le peuple français et particulièrement envers nos concitoyens français, les drapeaux devant l’hôtel de ville seront mis en berne jusqu’à nouvel ordre.

De plus, la Ville de Rouyn-Noranda parrainant officiellement l’équipe de cyclistes de France participant au Tour de l’Abitibi, arborera le drapeau français à son mât d’honneur tout au long du séjour de l’équipe qui sera de passage chez nous.

L’éclairage architectural de l’hôtel de ville rappellera également les couleurs bleu, blanc, rouge du drapeau français.

Le maire, monsieur Mario Provencher, s’exprime ainsi devant ces tristes événements: «Nous vivons dans un monde inquiétant où personne n’est à l’abri de la folie de certains groupes ou individus radicalisés. Tout en restant vigilants, nous pouvons nous réjouir de vivre dans une région et surtout dans une ville sécuritaire.»



 
 

L'équipe de cyclistes de France parrainée par la Ville de Rouyn-Noranda lors du Tour de 2016.

De tout cœur avec la France
À la suite de l’attentat perpétré le 14 juillet dernier à Nice faisant au moins 84 morts et une cinquantaine de blessés graves, le chef intérimaire du Bloc Québécois, Rhéal Fortin, tient à témoigner de sa solidarité et de celle du parti avec la France.

«Au nom du Bloc Québécois, je tiens à offrir mes condoléances aux proches des victimes et mes plus sincères vœux de courage aux familles et amis des dizaines de blessés dont le sort demeure incertain aujourd’hui. Nos pensées accompagnent également les nombreux secours déployés sur le terrain. Votre dévouement et votre bravoure vous honorent», a déclaré M. Fortin.

La troisième attaque terroriste majeure à survenir sur le territoire français au cours de la dernière année et demie a pris pour cible les Niçoises et les Niçois qui célébraient leur fête nationale.

«Nous sommes témoins d’un autre geste lâche et odieux qui vise l’essence même de la France. Nous sommes de tout cœur avec les Françaises et les Français qui sont durement éprouvés, partout au pays comme chez nous. Les liens entre nous sont serrés et nous connaissons votre résilience. Ceux qui s’attaquent à la France et à la démocratie verront se lever encore une fois des millions d’héroïnes et de héros qui ne cèdent pas devant l’obscurantisme et la sauvagerie», a conclu le chef intérimaire du Bloc Québécois.



 
 

Emmanuel Gagné représente le mois de juillet, mois du Tour de l'Abitibi, dans La Dépêche numéro 69 spécial calendrier témiscabitibien 2016-2017.

Par ailleurs, le député de Jonquière et chef de l’opposition officielle, Sylvain Gaudreault, ainsi que la députée d’Hochelaga - Maisonneuve et porte-parole du Parti Québécois en matière de relations internationales, Carole Poirier, tiennent à condamner l’attentat de la nuit du 14 juillet à Nice. Ils expriment toute leur solidarité aux gens de Nice et de la France.

«L’horreur et la barbarie ont de nouveau frappé. Des Français et des touristes venus célébrer la Fête nationale ont été fauchés. Nous ne pouvons rester silencieux devant la terreur. Ces actes attaquent nos sociétés et notre démocratie. Nous condamnons fermement cet acte terroriste. Au nom du Parti Québécois, j’adresse mes sincères condoléances aux proches et aux familles des victimes, ainsi qu’à toute la population niçoise et française», a déclaré Sylvain Gaudreault.

«La Fête nationale est l’occasion pour les Français de célébrer ce qui rassemble cette grande nation et sa place dans le monde. Elle se relèvera, forte et confiante en l’avenir. Elle peut compter sur le Québec et sur le Parti Québécois pour l’épauler, avec la même solidarité qui a toujours marqué nos relations. Au-delà de la grande tristesse qui nous habite aujourd’hui, nous exprimons notre solidarité profonde envers les familles des victimes et la France», a conclu Carole Poirier.

Malgré ses tentatives de diversion, le Parti libéral du Québec a beaucoup de difficultés à se dissocier de l'image de corruption qui l'afflige. Pour plus de détails ici ou lisez dans La Dépêche numéro 60 l'éditorial Bilan des années Charest : un fédéralisme néfaste pour le Québec.

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