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Bilan de la session parlementaire
Souveraineté alimentaire et loi sur les mines à l'avant-plan
COMMUNIQUÉS DE PRESSE  -  24/12/13

FRANCOIS GENDRON
 
 

Le Vice-premier ministre du Québec, Ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation et député d'Abitibi-Ouest, M. François Gendron. Lisez une entrevue avec le doyen de l'Assemblée nationale dans La Dépêche numéro 64.
  
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Procédant à son bilan de la dernière session parlementaire, le caucus des députés de l’Abitibi-Témiscamingue se réjouit notamment de l’adoption in extremis d’une nouvelle loi sur les mines.

Au début du mois de décembre, le gouvernement du Parti Québécois a fait adopter, avec l’appui de la Coalition avenir Québec (CAQ) dans le cadre d’une procédure parlementaire exceptionnelle, une nouvelle loi sur les mines mettant ainsi un terme à quatre années de démarches et d’incertitude pour le secteur minier.

«Nous, du caucus des députés de l’Abitibi-Témiscamingue, sommes fiers de la conclusion de ce dossier au bénéfice de notre région. Le gouvernement a entendu les commentaires des citoyens, des acteurs du milieu minier, des députés de l’opposition et a déposé un projet de loi équilibré, qui a même été bonifié à différents égards dans la journée de lundi [9 décembre 2013]. Notre gouvernement a fait preuve d’ouverture et a recueilli l’appui de la CAQ, ce qui a pu nous soustraire du blocage du parti libéral», a déclaré le ministre responsable de l’Abitibi-Témiscamingue, François Gendron.

Plus tôt dans la session, une autre bonne nouvelle a marqué le secteur minier régional dans le cadre du dépôt du Plan de développement du commerce extérieur du ministre Jean-François Lisée, qui fera dorénavant une place importante aux équipementiers miniers en s’appuyant, entre autres, sur l’organisme 48e Nord international.

«Il s’agit d’une décision majeure importante pour ces petites et moyennes entreprises de produits et de services miniers dont une large part se retrouve chez nous. Le développement et la reconnaissance de cette expertise constituent un gain notable pour l’Abitibi-Témiscamingue auquel le caucus des députés est heureux d’avoir contribué», a souligné le député de Rouyn-Noranda - Témiscamingue et président du caucus des députés de l’Abitibi-Témiscamingue, Gilles Chapadeau.


ELIZABETH LAROUCHE
 
 

La ministre déléguée aux Affaires autochtones, Mme Élizabeth Larouche: la femme de confiance de Pauline Marois. Un portrait de notre journaliste Julianne Pilon à lire dans La Dépêche numéro 63.
  
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De la perspective dans le secteur de la forêt
Les dernières semaines de l'année 2013 auront également permis d’offrir davantage de perspective au secteur forestier. Avec le Rendez-vous national de la forêt qui se tenait les 21 et 22 novembre à Saint-Félicien, l’exercice, salué par les intervenants présents, a été l’occasion de rétablir un dialogue constructif avec le milieu forestier et de tabler sur l’avenir de celui-ci. Le gouvernement a annoncé plusieurs investissements structurants visant la modernisation de l’industrie, l’efficacité énergétique, le développement de nouveaux produits et de la filière biomasse. En tout, ce sont près de 430 M$ que le gouvernement entend investir dans le développement et la modernisation de l’industrie forestière, auxquels s’ajoutent 250 M$ par année jusqu’en 2017 dans le cadre d’un vaste chantier de sylviculture.

«La mise en place du Rendez-vous, les nombreux investissements et la présence de la première ministre ont démontré tout l’intérêt de notre gouvernement envers ce secteur économique majeur pour les régions et pour l’Abitibi-Témiscamingue en particulier qui représente la 2e région forestière au Québec. Le degré de satisfaction des intervenants présents laisse entrevoir l’avenir de manière optimiste», s’est réjouie la ministre déléguée aux Affaires autochtones et députée d’Abitibi-Est, Élizabeth Larouche.


LOCO LOCASS
 
 

Le groupe hip-hop Loco Locass, connu pour sa ferveur souverainiste, a déjà dénoncé la piètre qualité de l’information en donnant en exemple la malhonnêteté dont peut faire preuve un quotidien comme La Presse (voir La Dépêche numéro 49).
  
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Concertation dans le milieu agricole
Dans le cadre du dévoilement de la Politique de souveraineté alimentaire en mai dernier, François Gendron avait annoncé la création d’une table de concertation destinée à sa mise en place. Au cours des derniers mois, dans la foulée de la Politique, des actions concrètes ont été mises de l’avant notamment en matière de relève agricole, de commercialisation, de développement de la transformation alimentaire, de recherche et d'innovation, de diversification et de développement des circuits courts et des marchés de proximité. Ces gestes, conjugués au forum que constitue la table de concertation des partenaires du bioalimentaire, auront contribué à instaurer un climat de confiance encourageant pour la suite des choses.

«Je me réjouis du bel esprit de concertation et de l’engouement qui se dégagent actuellement du secteur bioalimentaire québécois. Tous reconnaissent l’importance de se serrer les coudes et de travailler en étroite collaboration pour s'assurer que la Politique de souveraineté alimentaire ait le maximum d'impact. À cet égard, d’ici Noël, j’annoncerai un autre volet très attendu de la Politique en ce qui a trait au positionnement des aliments d’ici dans les établissements institutionnels québécois. Il s’agit d’une excellente nouvelle pour les agriculteurs qui sont à la base de la chaîne et, pour le gouvernement, la façon de donner l’exemple de faire le choix du Québec!», a déclaré François Gendron qui est également ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation du Québec.

Par ailleurs, il est à souligner l’engouement que suscite le Programme de soutien au drainage des terres de l’Abitibi-Témiscamingue qui, cet été seulement, aura permis des investissements de plus de 2 M$ en travaux de drainage grâce à un soutien financier du gouvernement du Québec de plus de 1 M$ à près de cinquante entreprises de la région. Cette aide permettra d'accroître les superficies drainées souterrainement et l'amélioration de la productivité des cultures. À long terme, c'est le dynamisme de l'agriculture qui en sera bonifié.


GILLES CHAPADEAU
 
 

«Notre marché intérieur qui n’utilise pas assez le bois doit être encouragé», estime monsieur Gilles Chapadeau. Pour en savoir plus La Dépêche numéro 60 vous propose un DOSSIER FORESTIER complet pour faire le point sur cette importante industrie au Québec qui a encore un avenir très prometteur.
  
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Politique nationale de la ruralité
Assortie d’une enveloppe de 470 M$ sur 10 ans, la Politique nationale de la ruralité 2014-2024 prévoit des moyens renforcés pour appuyer les communautés rurales dans leurs efforts de développement. En somme, plus de 340 M$ sont prévus pour le renouvellement des pactes ruraux ainsi que 63,5 M$ pour la mise en place des «pactes plus» qui permettront aux MRC, en collaboration avec leurs partenaires territoriaux, de s’investir à plus long terme dans des

domaines d’avenir pour leur territoire. Près de 49 M$ sont également réservés pour le renforcement du réseau des agents de développement rural dont une partie sera spécifiquement affectée à la revitalisation des milieux les plus en difficulté.

De plus, le gouvernement réitère toute sa confiance à Solidarité rurale du Québec et lui accorde un soutien financier de 8,5 millions de dollars sur dix ans afin que l’organisme entreprenne un mandat renouvelé d’instance-conseil en matière de ruralité.

«En présentant cette politique dotée d’un budget d’un demi-milliard de dollars, notre gouvernement réaffirme son engagement envers les milieux ruraux et son intention de contribuer à leur prospérité. La Politique nationale de la ruralité permettra de bâtir un Québec plus riche, plus solidaire et plus fier. Un Québec fort de chacun de ses territoires», a précisé Gilles Chapadeau.


Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue
 
 

La Dépêche numéro 64 vous propose 5 pages avec 33 photos sur les principaux films du 32e Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue dont le film Bagarreurs inc.
  
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Politique économique : Priorité emploi
La Politique économique : Priorité emploi déployée cet automne contribuera à la création de 115 000 emplois sur une période de trois ans, et entraînera des investissements totaux de près de 13 milliards de dollars. Cette politique économique désire créer les conditions gagnantes pour moderniser les entreprises manufacturières tout en favorisant la recherche et développement ainsi que l’innovation.

«Depuis l’élection de septembre 2012, notre gouvernement a fait de la consolidation et de la création d’emplois une priorité. C’est avec fierté que nous voyons déjà poindre des résultats encourageants pour l’ensemble du Québec, alors que jamais il n’y a eu autant de Québécois au travail que maintenant. En Abitibi-Témiscamingue, les chiffres parlent d’eux-mêmes avec plus de 74 000 emplois occupés et un taux de chômage de 5,9% et témoignent de la vitalité de notre économie», a conclu la ministre Élizabeth Larouche.


AGROALIMENTAIRE
 
 

Le secteur agricole est le plus gros employeur du Québec dans le domaine industriel. Lisez notre SPÉCIAL AGROALIMENTAIRE dans La Dépêche numéro 64.
  
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Plus de produits québécois dans le marché institutionnel
Par ailleurs, dans le sillage de la Politique de souveraineté alimentaire, le vice-premier ministre et ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, M. François Gendron, a dévoilé le 18 décembre dernier les grandes lignes de la Stratégie de positionnement des aliments du Québec sur le marché institutionnel. Il a profité de l'occasion pour signer des ententes de collaboration avec deux distributeurs alimentaires, soit Colabor inc. et Gordon Food Service, ainsi qu'avec l'Association québécoise de la distribution de fruits et légumes dont les membres approvisionnent ce marché.

«Nous sommes bien conscients qu'il est parfois ardu pour nos PME de faire affaire avec le marché institutionnel. C'est un marché complexe avec des exigences légales qui ont bien souvent de quoi décourager le plus persévérant des entrepreneurs. C'est pourquoi, comme nous nous y étions engagés au moment du lancement de la Politique de souveraineté alimentaire, nous nous sommes rapidement mis à la tâche pour mettre au point cette stratégie qui offre les outils pour favoriser l'accès à cet important marché», a déclaré le ministre.

La Stratégie permettra notamment d'augmenter la place des aliments du Québec dans les établissements publics, tels les hôpitaux et les écoles, comme dans les établissements privés financés par l'État. Son déploiement, qui mettra à contribution plusieurs ministères et organismes, sera appuyé par une enveloppe budgétaire de cinq millions de dollars au cours des trois prochaines années.

«Le marché institutionnel, ce sont des retombées de plus de 1,2 milliard de dollars annuellement. Il représente donc des occasions d'affaires intéressantes pour les entreprises bioalimentaires québécoises et un terreau fertile pour la prospérité économique du Québec. Je suis très confiant que les établissements de toutes les régions du Québec mettront la main à la pâte pour assurer le succès de cette stratégie», a tenu à ajouter M. Gendron.

Les objectifs poursuivis par la Stratégie
Dix-neuf moyens d'action sont clairement définis dans la Stratégie qui se déploie selon quatre grands objectifs:
 
  • Former, préparer et accompagner les entreprises afin de les aider à qualifier et à adapter leur offre de produits pour qu'elle réponde aux besoins des établissements publics;
  • Permettre aux établissements publics d'identifier plus facilement les produits certifiés par l'organisme Aliments du Québec;
  • Aider les entreprises à positionner leurs produits afin de les rendre plus distinctifs en matière de développement durable et ainsi de mieux répondre à la demande d'approvisionnement durable des établissements et organismes publics;
  • Rapprocher les entreprises d'ici des acheteurs des établissements publics et des distributeurs alimentaires en favorisant la création d'occasions d'affaires.


AU CENTRE BELL ON FAIT BEAUCOUP POUR SATISFAIRE LES ANGLOPHONES
 
 

Au Centre Bell, on en fait beaucoup pour satisfaire les anglophones. Plus de détails dans les numéros 60 et 61 de La Dépêche.
  
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La mise en œuvre de la Stratégie
Outre la signature d'ententes de collaboration, la Stratégie privilégie également une approche qui tiendra compte des particularités et des réalités propres aux 17 régions du Québec. Ainsi, d'ici le 31 mars 2014, dans chacune des régions du Québec, des organismes de concertation auront le mandat de conclure des ententes de collaboration avec les établissements de leur territoire. En vertu de ces ententes, ces organismes s'engageront à préparer et à déployer des plans d'action dont la réalisation pourrait bénéficier d'une aide financière du MAPAQ.

«Des ententes d'approvisionnement sont déjà en vigueur au Québec entre des établissements et des regroupements d'entreprises agroalimentaires, notamment dans la Chaudière-Appalaches et en Montérégie. Nous voulons nous inspirer de ces exemples et les multiplier à la grandeur du Québec. Non seulement cela nous donne un gage de qualité, mais c'est aussi une façon tangible de tendre vers la souveraineté alimentaire», a indiqué M. François Gendron.

Par ailleurs, le gouvernement du Québec accompagnera les entreprises pour démystifier le processus des appels d'offres et pour leur permettre d'accéder plus facilement au marché institutionnel.

«Cette stratégie vient s'ajouter à de nombreuses autres mesures annoncées au cours de la dernière année dans l'élan de la Politique de souveraineté alimentaire. Je crois que maintenant nous avons entre les mains un plan de match gagnant! Nos aliments du Québec ont tout pour répondre aux attentes de cet important marché et nous amorçons aujourd'hui un virage majeur qui, j'en suis convaincu, sera payant pour notre industrie bioalimentaire et pour l'économie du Québec», a conclu le ministre.

Rappelons qu'avec des investissements de 2,3 milliards de dollars et une demande alimentaire annuelle de près de 34 milliards de dollars qui soutient 475 000 emplois, l'industrie bioalimentaire est un moteur puissant de l'économie du Québec.

Pour plus ample information sur la Politique de souveraineté alimentaire du gouvernement du Québec, on peut visiter le blogue www.PolitiqueSA.gouv.qc.ca qui lui est consacré ou se rendre dans la page www.mapaq.gouv.qc.ca/PolitiqueSA du site Internet du ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation. Il est également possible de suivre le Ministère sur Twitter, à l'adresse suivante: twitter.com/mapaquebec.


François Gendron à la tête d'une mission en Chine
 
 

La Dépêche revient sur la mission économique dirigée par François Gendron en Chine dans son édition no 62. Pour plus de photos et de détails, procurez-vous le numéro spécial 15e anniversaire de La Dépêche numéro 62.
  
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Le gouvernement du Québec allège le fardeau des producteurs agricoles
De plus, le vice-premier ministre et ministre de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation, M. François Gendron, annonce la publication prochaine d'un projet de règlement améliorant le Règlement sur l'enregistrement des exploitations agricoles et sur le paiement des taxes foncières et des compensations.

«Ce que dit notre Politique de souveraineté alimentaire, c'est que si on veut préserver notre territoire agricole, qui est le patrimoine collectif de tous les Québécois, on doit l'utiliser à son plein potentiel. Il faut pouvoir tenir compte de la réalité que connaissent aujourd'hui nos producteurs agricoles et savoir adapter la réglementation lorsque cela est nécessaire. C'est justement ce que nous faisons avec le Règlement sur l'enregistrement des exploitations agricoles et sur le paiement des taxes foncières et des compensations», a expliqué M. François Gendron.


EQUIPE QUEBEC - TOUR DE L'ABITIBI
 
 

Équipe Québec a suscité l'enthousiasme lors du 45e Tour de l'Abitibi. Lisez le compte rendu dans La Dépêche numéro 63.
  
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Allègement du fardeau financier
Ainsi, l'adoption de différentes mesures d'allègement fera en sorte que le revenu brut moyen minimal requis par 100 $ d'évaluation foncière, qui représente une des conditions pour pouvoir bénéficier du Programme de crédit de taxes foncières agricoles (PCTFA), passera de 8 $ à 5 $, et ce, à compter de 2015. De plus, afin d'encourager l'essor de l'agriculture périurbaine, le ministre confirme l'instauration d'une mesure d'allègement du même revenu par 100 $ d'évaluation, dans ce cas dès 2014.

Concrètement, en ce qui concerne la mesure d'allègement visant à appuyer l'occupation dynamique de la zone agricole périurbaine, le revenu brut moyen minimal requis par 100 $ d'évaluation foncière sera réduit en fonction de l'écart entre l'évaluation foncière du producteur agricole et l'évaluation foncière moyenne de la région administrative où il se trouve.

Par ailleurs, à la demande d'un bon nombre d'intervenants, un comité de travail sera constitué de représentants du gouvernement, de l'UPA et des associations municipales afin de discuter des problèmes de taxation et d'évaluation en matière de fiscalité municipale agricole. À ce sujet, le ministre tient aussi à rappeler que, depuis 2007, les municipalités peuvent employer un taux de taxation agricole distinct inférieur au taux résidentiel lorsque la croissance de la valeur foncière du secteur agricole est supérieure à celle du secteur résidentiel dans la municipalité.


MAISONNEUVE FONDATEUR MONTREAL
 
 

Monument à Maisonneuve fondateur de Montréal. Est-ce que le nouveau maire de la métropole québécoise, Denis Coderre, voudra voir et combattre les plus grands scandales? Retrouvez les détails dans La Dépêche numéro 63.
  
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Allègement administratif: objectif «zéro papier»
Les modifications réglementaires proposées comprennent également une réforme administrative du PCTFA qui permettra aux exploitants agricoles de mettre à jour leur dossier en ligne, donc sans avoir à se déplacer dans un centre de services, ni à envoyer de documents sur support papier au ministère de l'Agriculture, des Pêcheries et de l'Alimentation (MAPAQ). En outre, à l'occasion de l'ajout d'une terre agricole à la fiche d'enregistrement du producteur agricole, le remboursement sera dorénavant calculé en fonction de la date de la transaction plutôt que selon la date de la déclaration de ce renseignement au MAPAQ. «Trop souvent j'entendais des producteurs agricoles se plaindre de la lourdeur administrative et du nombre de formulaires. Nous voulons qu'ils passent plus de temps à travailler sur leur terre qu'à produire des rapports», a indiqué M. Gendron.

Soulignons qu'avec des investissements de 2,3 milliards de dollars et une demande alimentaire annuelle de près de 34 milliards de dollars qui génère 475 000 emplois, l'industrie bioalimentaire est un moteur puissant de l'économie du Québec.