La Dépêche

En kiosque
La Dépêche présentement en kiosque


Sommaire
Anciens numéros
Points de vente
Abonnement
Accueil
Information
continue

Profil de
La Dépêche

Annoncer dans
La Dépêche



Actualité générale
Culture
Économie
Politique
Science
Sports

Eaux Eska
Transfert d'une partie de l'embouteillage dénoncé
COMMUNIQUÉ  -  09/02/17

AGROALIMENTAIRE
 
 

Le secteur agricole est le plus gros employeur du Québec dans le domaine industriel. Lisez notre SPÉCIAL AGROALIMENTAIRE dans La Dépêche numéro 64.
  
Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section Abonnement.

Transfert d'une partie de l'embouteillage aux Eaux Eska
«Les Eaux Eska, ça appartient à la région, les emplois doivent y rester», Ronald Nantel, représentant national d'Unifor et Gilles Chapadeau, représentant régional, FTQ

Les représentants syndicaux d'Unifor et de la Fédération des travailleuses et travailleurs du Québec (FTQ) ont rencontré les médias le 9 février 2017 afin de dénoncer la décision de l'entreprise Eaux Eska de déménager une partie de l'embouteillage de son eau à l'extérieur de la région.

«C'est complètement illogique de sortir notre ressource pour finaliser le produit à l'extérieur. Si la demande est grandissante et qu'il faut augmenter la production, la région doit bénéficier de la création de nouveaux emplois», a commenté M. Nantel. Le syndicat est en train de mettre en place une compagne de mobilisation pour amener la compagnie à faire marche arrière. «Nous avons eu une rencontre avec l'entreprise sur le sujet qui n'a malheureusement pas débouché sur d'autres scénarios, mais nous ne laissons pas tomber la serviette pour autant», a indiqué le représentant national d'Unifor.


GILLES CHAPADEAU
 
 

«Notre marché intérieur qui n’utilise pas assez le bois doit être encouragé», estime monsieur Gilles Chapadeau. Pour en savoir plus La Dépêche numéro 60 vous propose un DOSSIER FORESTIER complet pour faire le point sur cette importante industrie au Québec qui a encore un avenir très prometteur.
  
Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section Abonnement.

L'eau des Eskers est une ressource naturelle régionale et elle doit d'abord bénéficier aux communautés locales
Le syndicat réagissait ainsi à la décision des Eaux Eska de transférer l'embouteillage de ses produits de format d'un litre gazéifié et des autres produits en verre à Montréal. On invoque le manque d'espace et la non-disponibilité des bouteilles en verre en région. Ce à quoi le syndicat répond qu'il est ouvert à s'asseoir avec l'entreprise pour trouver des solutions aux problèmes soulevés.

Pour sa part, le représentant régional de la FTQ, Gilles Chapadeau affirme que l'eau des Eskers est une ressource naturelle régionale et qu'elle doit d'abord bénéficier aux communautés locales et environnantes. Dans l'intervalle, le représentant régional compte multiplier les rencontres avec les personnes influentes en région pour mettre en place un plan d'action.

Le directeur québécois d'Unifor Renaud Gagné, qui ne pouvait être présent, a tout de même tenu à témoigner de son appui et de celui d'Unifor. «Sachant que les emplois qui partent des régions n'y reviennent à peu pas jamais, il serait dommage de ne pas explorer toutes les hypothèses possibles afin de profiter au maximum des retombées de cette industrie. C'est notre ressource après tout», a conclu M. Gagné.



LA DEPECHE NUMERO 69La Dépêche numéro 69 est un numéro spécial sous la forme d'un calendrier témiscabitibien 2016-2017 que vous pouvez accrocher au mur.

Cette édition vous offre également un grand reportage sur la Table des aînés d'Abitibi-Ouest et un photoreportage sur la plus récente édition du Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue.

Pour vous procurez le numéro présentement en kiosque, consultez notre section POINTS DE VENTE.


LA DEPECHE NUMERO 68
En ce qui concerne notre reportage sur la route de la Baie-James publié dans La Dépêche numéro 68, il vous proposait un grand portrait de Pierre-Esprit Radisson.

En effet, suite aux 40 ans de la localité de Radisson (en 2014), un village, provisoire à l’origine, mais qui a su maintenir des habitants n’ayant pas envie de le quitter et qui sont fiers d’y résider, il n’était pas inutile de se rappeler qui était ce Pierre-Esprit Radisson si lié aux baies James et d’Hudson. À lire dans La Dépêche numéro 68.


Pour recevoir un ancien numéro de La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT.