Jeux olympiques 2018



 
 

Le Canada exporte son mépris du français en Corée du Sud. Les détails sur papier glacé dans La Dépêche numéro 74.
   
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Suite à la première partie de hockey de l’Équipe du Canada aux récents Jeux olympiques en Corée du Sud, un responsable de Hockey Canada, Bayne Pettinger, a exigé que les noms francophones soient la prochaine fois prononcés à l’anglaise par l’annonceur maison dans l’aréna. Il était agacé d’entendre le descripteur québécois Sébastien Goulet prononcer à la française les noms de Marc-André Gragnani, Derek Roy et René Bourque, en plus des Kevin Poulin, Maxim Lapierre et Maxim Noreau.

Pourtant, la langue officielle des Olympiques est toujours le français. De plus, tout au cours de leur carrière dans la Ligue nationale de hockey (LNH), les noms de ces joueurs n’ont jamais été prononcés à l’anglaise quand ils venaient jouer à Montréal.



 
 

Le Catalan Martin Fourcade a remporté 3 médailles d’or pour la France aux JO 2018. Pendant ce temps, Hockey Canada a démontré une nouvelle facette du mépris que le Canada peut avoir envers le français. Les détails sur papier glacé dans La Dépêche numéro 74.

Cette histoire nous rappelle à quel point il y a dans les fédérations sportives canadiennes, un sentiment peu sympathique au fait français. À bien des occasions, elles nous ont démontré que les Québécois n’avaient pas tout à fait leur place. Un environnement hostile où les francophones doivent apprendre à renier leur langue et où leur chance de succès est plus difficile comme l’a prouvé, chiffres à l’appui, Bob Sirois dans son livre Le Québec mis en échec: la discrimination envers les Québécois dans la LNH.

Retrouvez l'intégral de ce texte sur papier glacé dans La Dépêche numéro 74.

Par ailleurs, La Dépêche numéro 74 vous convie à mieux connaître la première femme à la tête de Rouyn-Noranda: Diane Dallaire. Après quelques semaines d’exercice du pouvoir, comment se sent la première mairesse de Rouyn-Noranda et quels défis aura-t-elle à relever pendant son mandat? Une grande entrevue réalisée par notre journaliste Julianne Pilon à lire dans La Dépêche numéro 74.

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