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Marécages met en lumière la réalité des agriculteurs
Guy Édoin présente son film à Rouyn-Noranda

 

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Automne 2011,  le Festival du cinéma fête son 30e. À cette occasion, La Dépêche numéro 59 vous propose une section spéciale anniversaire de 8 pages avec 50 photos.
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À l'automne 2011, le film MARÉCAGES, qui a suscité d'excellentes réactions un peu partout dans le monde, a été présenté au Théâtre du cuivre de Rouyn-Noranda par sa productrice et son réalisateur dans le cadre du 30e Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue.

«Premièrement, je voudrais commencer par la fin et remercier le public, de dire la productrice Félize Frappier. Les dernières journées m'ont vraiment montré un public super animé, hétéroclite… différent de ce qu'on voit ailleurs. À travers les histoires très amusantes de Jacques Matte [président du Festival], j'ai vraiment découvert Rouyn-Noranda. C'est ma première fois ici. Je veux vraiment remercier les organisateurs du Festival, les bénévoles qui me font vivre des moments assez extraordinaire. Pour toutes ces raisons là, c'est vraiment un honneur de vous présenter MARÉCAGES. En fait, ça va prendre quelque temps avant que le film revienne dans la région, donc vous êtes vraiment des privilégiés pour le voir. Et sans plus attendre, je vous présente son réalisateur Guy Édoin.»


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Guy Édoin, réalisateur du long métrage Marécages avec Pascale Bussière, François Papineau et Luc Picard.
Automne 2011,  le Festival du cinéma fête son 30e. À cette occasion, La Dépêche numéro 59 vous propose une section spéciale anniversaire de 8 pages avec 50 photos.

«Bonsoir tout le monde. Tout d'abord, merci d'être là. Je voudrais remercier Jacques Matte, merci. Et le Festival, merci. C'est ma troisième présence ici. Donc, c'est un festival que j'affectionne particulièrement puisque c'est le premier festival où j'ai présenté mon premier court métrage: LE PONT. Et je suis venu présenter un autre court métrage LES EAUX MORTES. Pour parler un petit peu du film, rapidement, le film est une histoire familiale à la base, une famille d'agriculteurs. J'ai tourné le film sur la ferme de mes parents, sans qui, ce film là aurait été impossible à faire.»

Après la projection, dans le foyer du Théâtre du cuivre, on jasait fort sur une multitude de scènes du film. Le réalisateur était là et échangeait avec des spectateurs, pendant que des médias demandaient à des festivaliers leurs impressions. On faisait des liens entre la séquence du début avec une autre à la fin. On donnait son opinion sur les différentes scènes de nudité. Ou sur les séquences particulières avec les vaches. D'autres personnes soulignaient comment, venant d'un milieux rural, elles avaient été agréablement touché par ce film et de l'importance de mettre ainsi en lumière la réalité de la vie des agriculteurs. Après tout, on doit bien manger trois fois par jour: l'agriculture est un domaine vital dont on devrait se soucier d'avantage.

Puis, les discussions se sont poursuivi dans la salle de presse entre des invités, des bénévoles et le réalisateur qui en a profité pour confier des anecdotes de tournage. On a fait aussi un parallèle entre son film et le long métrage MONSIEUR LAZHAR. Dans les deux cas, on note un même thème: une personne décède et une autre est blâmée pour cette mort. Un même thème? Peut-être.

LA DÉPÊCHE NO 59 SECTION SPÉCIALE 30e ANNIVERSAIRE
8 PAGES + 50 PHOTOS
Pour ce 30e anniversaire du Festival, La Dépêche vous propose dans son numéro 59 une grande rétrospective: un survol des principaux films de la 30e édition, les points tournants de l'événement, les perspectives d’avenir, les figures marquantes, ainsi que la place que le Festival a réussi à se tailler au niveau national au cours des années.

LA DÉPÊCHE NUMÉRO 59

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