En kiosque
| 
|
| Centenaire d'Amos
Source d'une des meilleures eaux au monde
| LA DÉPÊCHE NUMÉRO 65 - 23/07/14
|
| 
|
|
|
| Cycliste participant au Tour de l’Abitibi et buvant de l’eau Eska provenant de l’esker St-Mathieu. Amos possède une des meilleures eaux potables au monde. Pour en savoir plus sur Amos et sur son 100e anniversaire, procurez-vous La Dépêche numéro 65).
Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT.
|
En 2014, dans le cadre des festivités entourant le centenaire d'Amos, la municipalité témiscabitibienne avait décidé d'être la ville hôtesse du 46e Tour de lAbitibi.
Peut-être un signe de ses ambitions pour le prochain siècle, Amos comptait accueillir le plus grand nombre de cyclistes de l'histoire du Tour avec plus de 170 coureurs, dont les équipes nationales de la France, des États-Unis, du Japon, de la Colombie, du Guatemala, du Mexique, du Maroc et du Danemark.
Présage que les Amossois voient leur avenir en grand et sauront être à la hauteur des pionniers du passé.
| 
|
|
|
| Pour en savoir plus sur Amos et sur son 100e anniversaire, procurez-vous La Dépêche numéro 65).
Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT.
|
LE NUMÉRO SPÉCIAL CENTENAIRE D'AMOS
DE LA DÉPÊCHE
Le curé Labelle, sous-ministre de la colonisation à Québec dans le gouvernement d’Honoré Mercier (1887-1891), considérait le développement du Nord comme une manière de contrer l’exode massif des Québécois vers les usines de textiles des États-Unis. Cependant, voyant d’un mauvais oeil le développement d’une enclave francophone entre les Maritimes et le reste du Canada, les différents gouvernements qui se sont succédés à Ottawa ont très longtemps retardé l’annexion de l’Abitibi au Québec (voir La Dépêche no 7 sur le 100e anniversaire de l’annexion de l’Abitibi au Québec). Enfin, le 13 juin 1898, le territoire abitibien est rattaché au Québec permettant finalement son développement à l’initiative du gouvernement québécois.
| 
|
|
|
| Pont du chemin de fer Transcontinental enjambant la rivière Harricana. Pour en savoir plus sur Amos et sur son 100e anniversaire, procurez-vous La Dépêche numéro 65).
Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT.
|
En construction depuis l’été 1911, le chemin de fer offre peu à peu un nouveau moyen de se déplacer. Le croisement du chemin de fer Transcontinental avec la deuxième plus longue voie navigable du Canada (170 km) allait inévitablement donner naissance à une importante municipalité comme l’a si bien décrit l’écrivain Bernard Clavel dans son roman Harricana. En 1914, Amos obtient son statut de village. La municipalité prend forme le long de la majestueuse rivière Harricana (nom tirant son origine d’un mot algonquin signifiant, selon différentes sources, soit la «rivière aux biscuits», soit «la voie principale». D’ailleurs, avant la construction du chemin de fer, la rivière Harricana était le seul chemin praticable.
 La Dépêche numéro 65 vous propose une édition spéciale sur le centenaire de la ville d'Amos. Un rappel historique en deux temps. La première époque (les années avant la fondation de 1914) et la deuxième époque (après la fondation). Un numéro spécial abondamment illustré avec 30 photos sur 8 pages à conserver en référence.
Pour recevoir un ancien numéro de La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT. Pour vous procurez le numéro présentement en kiosque, consultez notre section POINTS DE VENTE.
|
|
