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| Centenaire d'Amos Première époque: les années avant la fondation
| LA DÉPÊCHE NUMÉRO 65 - 23/07/14
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| Pont du chemin de fer Transcontinental enjambant la rivière Harricana. Pour en savoir plus sur Amos et sur son 100e anniversaire, procurez-vous La Dépêche numéro 65). Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT.
| Le curé Labelle, sous-ministre de la colonisation à Québec dans le gouvernement d’Honoré Mercier (1887-1891), considérait le développement du Nord comme une manière de contrer l’exode massif des Québécois vers les usines de textiles des États-Unis.
Cependant, voyant d’un mauvais oeil le développement d’une enclave francophone entre les Maritimes et le reste du Canada, les différents gouvernements qui se sont succédés à Ottawa ont très longtemps retardé l’annexion de l’Abitibi au Québec (voir La Dépêche numéro 7 sur le 100e anniversaire de l’annexion de l’Abitibi au Québec). Enfin, le 13 juin 1898, le territoire abitibien est rattaché au Québec permettant finalement son développement à l’initiative du gouvernement québécois.
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| Cycliste participant au Tour de l’Abitibi et buvant de l’eau Eska provenant de l’esker St-Mathieu. Amos possède une des meilleures eaux potables au monde. Pour en savoir plus sur Amos et sur son 100e anniversaire, procurez-vous La Dépêche numéro 65). Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT.
| Le croisement du chemin de fer Transcontinental avec la deuxième plus longue voie navigable du Canada (170 km) allait inévitablement donner naissance à une importante municipalité comme l’a si bien décrit l’écrivain Bernard Clavel dans son roman Harricana.
C’est en 1914 qu’Amos obtient son statut de village. La municipalité prend forme le long de la majestueuse rivière Harricana (nom tirant son origine d’un mot algonquin signifiant, selon différentes sources, soit la «rivière aux biscuits», soit «la voie principale». D’ailleurs, avant la construction du chemin de fer, la rivière Harricana était le seul chemin praticable.
Ainsi, le croisement du chemin de fer Transcontinental avec la rivière Harricana (deuxième plus longue voie navigable du Canada avec ses 170 km) donne naissance à une importante municipalité comme l’a si bien décrit l’écrivain Bernard Clavel dans son roman Harricana.
La Dépêche numéro 65 vous propose une édition spéciale sur le centenaire de la ville d'Amos. Une couverture en deux temps. La première époque (les années avant la fondation de 1914) et la deuxième époque (après la fondation). Un numéro spécial à caractère historique avec 30 photos sur 8 pages à conserver en référence.
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