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Agrandissement du lieu d'enfouissement
sanitaire de Val-d'Or
Vers un gain environnemental pour la rivière Bourlamaque

(27/07/04) Le 04 mars dernier, le Conseil régional de l'Environnement de l'Abitibi-Témiscamingue (CREAT) avait adressé une demande d'audience publique au ministère de l'Environnement (cabinet du Ministre J. Mulcair), concernant l'agrandissement du site d'enfouissement sanitaire de la Ville de Val-d'Or. Le CREAT souhaitait obtenir des informations supplémentaires sur le traitement et la disposition du lixiviat du lieu d'enfouissement sanitaire (LES) actuel et du nouveau lieu d'enfouissement technique (LET) dans le but d'évaluer: les impacts à la rivière Bourlamaque;
la quantité de déchets acceptés au nouveau LET; la localisation du nouveau LET, etc.

Suite à la demande d'audience publique auprès du Ministère, les membres du CREAT ont rencontré les représentants de la MRC de Vallée-de-l'Or concernant les divers impacts environnementaux du projet d'enfouissement. Un point n'a pas été clarifié à leur entière satisfaction, suite à la rencontre, soit le traitement du lixiviat du LES actuel.

Le Conseil régional de l'Environnement de l'Abitibi-Témiscamingue étant un organisme de concertation et ouvert à la discussion, il a demandé au Ministre Mulcair une médiation entre les différents intervenants concernés par ce projet, dans le but d'éclaircir ce point litigieux. Cette demande fut accordée au CREAT. Le Bureau d'audience publique a donc procédé à la médiation entre les parties, soit entre le Conseil régional de l'Environnement de l'Abitibi Témiscamingue, la MRC de Vallée-de-l'Or et la Ville de Val- d'Or. Le but recherché par le CREAT, était la réduction des apports de contaminant à la rivière Bourlamaque.

La médiation a permis d'arriver à un résultat; une entente qui selon l'organisme assure un gain environnemental important en rapport avec le rejet des eaux de lixiviation dans la rivière Bourlamaque par le LES actuel. Afin que le dossier puisse continuer à progresser, le CREAT souhaite maintenant que le Ministre de l'environnement M. Thomas J. Mulcair accepte les recommandations de cette entente.