PAGE D'ACCUEIL
Sommaire du numéro en kiosque
Points de vente
Abonnement
Profil de La Dépêche
Véhicule publicitaire

 

 
INFORMATION CONTINUE
Petites annonces
Économie
Sport
Informatique
Culture
Politique

Concours

Johanne Jean, rectrice de l'UQAT

(06/06/04) Mme Johanne Jean devient la première rectrice et la troisième personne à occuper le poste de recteur de l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT). Déjà bien connue du milieu témiscamibitibien et de la communauté universitaire, c'est avec enthousiasme que Mme Jean prend la barre d'une université dynamique, performante, innovante et en pleine croissance avec tous les avantages et les contraintes que cela comporte.

«Mon plus gros défi, et, celui de toute la communauté universitaire, sera de continuer d'étendre notre offre de formation et nos travaux de recherche à tout le territoire de l'Abitibi-Témiscamingue et du Nord-du-Québec», déclare d'emblée la nouvelle rectrice. M. Jean entend bien proposer davantage de services aux Premières Nations. Elle ajoute que l'UQAT s'est dotée d'un plan de développement fort bien articulé pour les cinq prochaines années.

Très active en région, Mme Jean est l'actuelle vice-présidente de la démarche ACCORD en Abitibi-Témiscamingue. Elle siège, entre autres, aux conseils d'administration du Club Défi et de la Société Innovatech Région Ressources. Elle s'est aussi fait connaître du milieu à titre de femme d'affaires. En effet, ingénieure de formation, elle a uvré en gestion de projet, particulièrement dans le secteur minier. Mme Johanne Jean a noué ses premiers liens avec l'UQAT au début des années quatre-vingt. D'abord agente de recherche, elle a ensuite assumé des charges de cours pour devenir professeur en sciences de la gestion en 1992. En 1999, elle devient vice-rectrice à l'enseignement et à la recherche et registraire, poste qu'elle a occupé jusqu'à sa nomination au rectorat. Elle détient une maîtrise en gestion de projet de l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue et un baccalauréat en sciences appliquées en génie géologique de l'Université Laval.

En janvier 2003, dans son grand dossier sur l'Abitibi-Témiscamingue face à son dépeuplement, La Dépêche publiait une entrevue avec Mme Johanne Jean sous le titre L'Abitibi-Témiscamingue ne se laissera pas dépeupler UNE QUESTION DE VOLONTÉ. Pour recevoir des numéros souvenir de La Dépêche ou pour vous abonner, consultez notre section Abonnement.