La Dépêche 54
Courriel de la rédaction
Sommaire du numéro 54
LA DÉPÊCHE - NUMÉRO 54
JUILLET - AOÛT 2009Sommaire
Le gouffre valdorien
Au moins quatre projets de mines à ciel ouvert de type «fort tonnage faible teneur» sont présentement sur la table en Abitibi-Témiscamingue: le projet de Royal Nickel à l'ouest d'Amos, le projet Joana de Mines Aurizons près de la côte Joanne le long de la route 117, le projet Galloway de Ressources Vantex à Rouyn-Noranda près du quartier périphérique Arntfield et, bien sûr, le projet d'Osisko en milieu habité à Malartic.
Les conséquences de ce type d'exploitation tant sur les plans économique et social, qu'environnemental sont importantes et font penser à celles de l'exploitation du pétrole dans les sables bitumineux de l'Ouest canadien.
L'exploitation de la mine à ciel ouvert à l'entrée est de la ville de Val-d'Or a démontré à quel point la rentabilité de ce type de développement n'est pas évidente. Alors qu'un nombre croissant d'organisations régionales demande un débat en profondeur sur la question, dans sa 54e édition, La Dépêche vous propose un rappel de la saga Sigma-Lamaque.
Rappelez-vous de l'histoire d'un gouffre écologique et économique. Découvrez les principaux éléments de l'ambitieux projet de mine à ciel ouvert de la Corporation minière Osisko à Malartic. Distinguez les rôles de l'ancien député péquiste d'Abitibi-Est, André Pelletier, et du maire de Val-d'Or Fernand Trahan, nouveau porte-parole de la Conférence régionale des élus de l'Abitibi-Témiscamingue en matière de mines à ciel ouvert. Dans La Dépêche numéro 54 de juillet-août 2009.
Aussi dans ce numéro, un grand dossier économique. Les origines de la crise économique actuelle. L'état de l'industrie forestière au Québec. Amos, La Sarre, Val-d'Or, Notre-Dame-du-Nord... l'importance de la recherche aux quatre coins de la région. Le portrait d'une entreprise névralgique: Stavibel joyau de l'ingénierie en Abitibi-Témiscamingue. Et un publireportage sur le tout nouveau vol 797 pour Toronto: une initiative de la ville de Rouyn-Noranda.
L'industrie forestière sous respirateur
Depuis l'automne 2008, et même bien avant, il ne se passe pas une semaine sans que les difficultés de l'industrie forestière ne fassent les manchettes des journaux et téléjournaux. Fermeture temporaire, réouverture retardée, fermeture permanente, mise à pied de travailleurs, réduction des conditions de travail, rumeurs de faillite, etc. Quel est l'état de l'industrie maintenant que la crise financière s'est transformée en récession?
Les conservateurs semblent continuer de faire la sourde oreille aux demandes de l'industrie. Le milliard $ sur trois ans annoncé 17 juin 2009 déçoit. L'aide doit servir uniquement à la modernisation des entreprises et, selon plusieurs, elle ne sauvera pas l'industrie: des emplois vont continuer de se perdre et ça n'aidera pas ceux qui ont déjà perdu leur emploi. De plus, cette aide du gouvernement fédéral fait pâle figure en comparaison de celle accordée à l'industrie automobile de l'Ontario.
Alors, que veux l'industrie forestière? État de la situation à lire dans La Dépêche numéro 54.
Aussi dans cette 54e édition du magazine indépendant de l'Abitibi-Témiscamingue, un grand dossier économique. Les origines de la crise économique actuelle. L'état de l'industrie forestière au Québec. Amos, La Sarre, Val-d'Or, Notre-Dame-du-Nord... l'importance de la recherche aux quatre coins de la région. Le portrait d'une entreprise névralgique: Stavibel joyau de l'ingénierie en Abitibi-Témiscamingue. Et un publireportage sur le tout nouveau vol 797 pour Toronto: une initiative de la ville de Rouyn-Noranda.
Amos, La Sarre, Val-d'Or, Notre-Dame-du-Nord...
Un monde de rechercheL'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue (UQAT) fête son 25e anniversaire. Cette grande université de petite taille a toujours été un peu impatiente et aussi... un peu délinquante.
Trouvant très lent et ardu de se développer en créant une série de programmes de premier cycle, les autorités universitaires (dont surtout Jules Arsenault qui a été recteur de l'UQAT pendant 15 ans) ont eu l'idée de se développer en passant par le développement de créneaux de recherches. Si le processus d'approbation des programmes est très long, il n'en va pas de même de la recherche. Il suffit d'attirer des chercheurs et de trouver des subventions. Ce n'est pas tout à fait aussi simple, mais la démarche est celle-là.
Val-d'Or avec les premières nations, La Sarre avec la forêt, Amos avec l'eau, le Témiscamingue avec l'agroalimentaire... la recherche est présente aux quatre coins de l'Abitibi-Témiscamingue grâce à l'UQAT. Découvrez toute l'importance de la recherche dans la région dans La Dépêche numéro 54.
Aussi dans cette 54e édition, un grand dossier économique. Les origines de la crise économique actuelle. L'état de l'industrie forestière au Québec. Le portrait d'une entreprise névralgique: Stavibel joyau de l'ingénierie en Abitibi-Témiscamingue. Le projet Osisko à Malartic: une locomotive pour que la région passe à travers la récession sans trop de séquelle? Et un publireportage sur le tout nouveau vol 797 pour Toronto: une initiative de la ville de Rouyn-Noranda.
« Val-d'Or c'est Jack London, mais moderne »
À chaque automne, le Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue fait découvrir à ses invités des attraits de la région. Vous êtes à la recherche d'attraits touristiques? La Dépêche a répertorié quelques témoignages inspirants de ces visiteurs.
Découvrez dans La Dépêche numéro 54 que «beau temps, mauvais temps, l'Abitibi-Témiscamingue, c'est beau». Lisez les commentaires éloquents du réalisateur Robert Morin, notez les pérégrinations du président de Bombardier M. Laurent Beaudoin, de la réalisatrice et nièce du président Nathalie Bissonnette, d'Isabelle Bombardier, de la productrice Ginette Petit, de Claude Lemieux du Festival du film de Tremblant, des réalisateurs français Bernard Nauer et Thierry Guedj, ainsi que les anecdotes des bénévoles du Festival Jean Boivin et Lorraine Gendreau.
Toujours au niveau des découvertes, mais cette fois outre-mer, lisez le reportage de notre journaliste Chantal Peyrani sur l'eau d'Évian: une eau qui a traversé l'Atlantique depuis les Alpes françaises. Une autre belle histoire des vieux pays, à lire dans La Dépêche numéro 54.
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