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| ENQUÊTE Nous aussi, nous passons parfois Noël sur le gazon
| LA DÉPÊCHE NUMÉRO 77 - 29/11/18
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| Un Noël sans neige à Val-d'Or. Lisez notre enquête sur la désinformation climatique à partir de La Dépêche numéro 72. Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT. |
Que ce soit à Val-d’Or ou à Rouyn-Noranda, Noël sur le gazon, c'est possible.
Pour plusieurs Québécois, un Noël sans neige en Abitibi-Témiscamingue est totalement inimaginable.
Pourtant, au cours des dernières années, on a vécu cette situation plus d’une fois que ce soit à Val-d’Or ou à Rouyn-Noranda.
Cependant, les médias nationaux ont transmis tant de contre-vérités sur le climat témiscabitibien depuis tant d’années, que pour bien des gens, un Noël sur le gazon en Abitibi-Témiscamingue est tout simplement impossible. Aussi, La Dépêche devra poursuivre encore longtemps sa liste des inexactitudes véhiculées dans les médias pour rectifier ces préjugés (cf. La Dépêche nos 72 à 77).
La Dépêche numéro 77 souligne le fait qu'il arrive parfois qu'il n'y a pas de neige au sol à Noël dans les principales villes de la région tout en poursuivant sa nomenclature des nombreux exemples de contre-vérités dans les médias qui ont au cours des années forgé à tort notre mauvaise réputation de Sibérie du Québec.
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| Le Québec n’est pas la Californie, mais l’Abitibi-Témiscamingue n’est pas la Sibérie non plus. Lisez notre enquête sur la désinformation climatique à partir de La Dépêche numéro 72. Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT. |
L’Abitibi-Témiscamingue n'est pas la Sibérie du Québec
L’Abitibi-Témiscamingue est de toutes les régions du Québec la plus choyée au niveau climatique. Une telle affirmation provoque sans doute beaucoup de scepticisme y compris chez les Témiscabitibiens.
Pourtant, un élément devrait nous en convaincre. Toutes les régions du Québec, y compris Montréal, sont régulièrement et en toutes saisons aux prises avec des inondations. Toutes? Non! L’Abitibi-Témiscamingue et le Nord-du-Québec échappent essentiellement à ces caprices de Dame Nature qui entraînent des coûts faramineux.
Puis, quelle région détient le record de la température la plus élevée jamais enregistré au Québec? Si vous ne connaissez pas déjà la réponse, relisez notre série de reportages visant à rétablir les faits sur le climat de l'Abitibi-Témiscamingue. Des reportages où nous poursuivons inlassablement la nomenclature des nombreux exemples de contre-vérités véhiculés dans les médias nationaux et régionaux qui ont au cours des années forgé à tort notre mauvaise réputation de Sibérie du Québec.
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| La ville de Témiscaming est détentrice, avec Ville-Marie, du record de la température la plus élevée jamais enregistré au Québec. Ainsi, même une fontaine d’inspiration vénitienne a toute sa place à Témiscaming. Lisez toute notre enquête sur la désinformation climatique à partir de La Dépêche numéro 72.
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Le record de la température la plus élevée jamais enregistré au Québec se situe en Abitibi-Témiscamingue
Si on considère les températures plus douces du véritable sud-ouest du Québec, les Témiscabitibiens peuvent se considérer comme les plus choyés des Québécois au niveau climatique malgré les préjugés entretenus par plusieurs. À commencer par de nombreux médias tant nationaux que régionaux.
Évidemment, le Québec ne possède pas un climat très clément. Mais si le Québec n'est pas la Californie, l'Abitibi-Témiscamingue est loin d'être la Sibérie du Québec. C'est donc à ce préjugé bien établi depuis des décennies que La Dépêche s'attaque avec son enquête sur le climat témiscabitibien et que nous avons débuté en y consacrant notre page couverture de notre édition numéro 72.
L’Abitibi-Témiscamingue n’est pas la Sibérie du Québec Nous aussi, nous passons parfois Noël sur le gazon La Dépêche numéro 77 souligne le fait qu'il arrive parfois qu'il n'y a pas de neige au sol à Noël dans les principales villes de la région tout en poursuivant sa nomenclature des nombreux exemples de contre-vérités dans les médias qui ont au cours des années forgé à tort notre mauvaise réputation de Sibérie du Québec. Dans cette édition, nous nous attardons à un exemple mettant en vedette le météorologue Pascal Yiacouvakis qui ne se gêne pas pour rabaisser l’Abitibi-Témiscamingue pour remonter le moral des Montréalais. À lire dans La Dépêche numéro 77.
L’Abitibi-Témiscamingue n’est pas la Sibérie du Québec On rabaisse les régions pour embellir Montréal La désinformation climatique concernant l’Abitibi-Témiscamingue prend plusieurs formes (cf. La Dépêche numéros 72 à 75). Une, particulièrement récurrente au niveau des médias nationaux, est d’embellir le climat de Montréal et d’enlaidir la météo des autres régions.
Et dans la pléthore de cas où des médias nationaux ont enlaidi injustement la météo qui régnait en Abitibi-Témiscamingue tout en tentant d’embellir désespérément celle de Montréal, l’automne 2007 a été éminemment révélateur. C'est sur cette manifestation choquante d'un manque de rigueur de certains médias nationaux que La Dépêche numéro 76 s'attarde.
L’Abitibi-Témiscamingue Le véritable sud-ouest du Québec Il va sans dire, les préjugés sont très tenaces concernant l’Abitibi-Témiscamingue et souvent ce sont des Témiscabitibiens eux-mêmes qui les entretiennent. Cependant, rendons à César ce qui appartient à César, comme vous avez pu le constater dans nos éditions précédentes (cf. La Dépêche numéros 72 à 74), les médias nationaux ont une grande part de responsabilité à cet égard; les inexactitudes qui ont été diffusées systématiquement au cours des dernières décennies se comptent, sans exagération, par centaines. La Dépêche numéro 75 vous propose un nouvel exemple de désinformation climatique.
Des absurdités qui révèlent des lacunes ou Se fier aux prévisions de Sudbury? De Val-d’Or à Ville-Marie, depuis des années, on entend des Témiscabitibiens déplorer l’inexactitude de la température donnée au jour le jour par des médias tant nationaux que régionaux. Pour contrer cette image erronée de notre climat, La Dépêche numéro 74 poursuit sa nomenclature des contre-vérités répertoriées dans les médias en s’attardant cette fois plus spécifiquement à certaines absurdités qui nous révèlent aussi des lacunes dans les prévisions météo.
En 2008, une citoyenne du Témiscamingue nous révélait que des gens se fient aux prévisions qu’on effectue pour Sudbury afin d’avoir une meilleure idée du temps qu’il va faire... à Ville-Marie. Lisez les détails dans notre 3e texte de notre série sur le climat témiscabitibien «Des absurdités qui révèlent des lacunes ou Se fier aux prévisions de Sudbury?» dans La Dépêche numéro 74.
Témiscaming et Ville-Marie: les villes les plus chaudes du Québec Dans notre édition numéro 73, nous soulignons que c'est bel et bien en Abitibi-Témiscamingue qu'on trouve les records de la température la plus élevé jamais enregistré au Québec. si on considère les températures plus douces du véritable sud-ouest du Québec, les Témiscabitibiens peuvent se considérer choyés au niveau climatique malgré les préjugés entretenus par plusieurs. À commencer par des médias.
En effet, c'est bel et bien Témiscaming et Ville-Marie, deux villes de l'Abitibi-Témiscamingue, qui détiennent toujours le record historique du point le plus chaud jamais enregistré au Québec: 40,0° Celsius, sans facteur humidex, enregistré le 6 juillet 1921 dans les deux villes. Lisez les détails dans notre 2e texte de notre enquête sur le climat témiscabitibien «Témiscaming et Ville-Marie: les villes les plus chaudes du Québec» dans La Dépêche numéro 73.
L’Abitibi-Témiscamingue n’est pas la Sibérie du Québec Dans son numéro 72, La Dépêche débute sa grande enquête sur le climat témiscabitibien en y consacrant sa une et en titrant «L’Abitibi-Témiscamingue n’est pas la Sibérie du Québec».
Cela s’entend, au niveau climatique, le Québec ce n’est pas la Californie, mais l’Abitibi-Témiscamingue n’est pas la Sibérie non plus.
Alors, pour contrer ce préjugé, La Dépêche vous propose à partir de son numéro 72 plusieurs dizaines d’exemples de contre-vérités qui ont au cours des années forgé à tort notre mauvaise réputation au niveau climatique.
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| Les cyclistes français qui participent au Tour de l’Abitibi sont plus à même de savoir situer sur une carte la région que bon nombre de Québécois.
| Le climat témiscabitibien Des préjugés toujours très répandus Les cyclistes français qui participent au Tour de l’Abitibi sont plus à même de savoir situer sur une carte la région que bon nombre de Québécois désinformés.
D’ailleurs, les touristes français, exempts de préjugés et qui rêvent depuis longtemps de découvrir le véritable nord du Québec, préfèrent plutôt un voyage par la route vers Chibougamau ou la Baie-James (cf. Le mythe de Chibougamau, La Dépêche numéro 21).
Ce n’est pas d’hier que des inexactitudes sont véhiculées dans des médias sur le climat témiscabitibien (cf. La Dépêche numéros 72 à 77).
La Dépêche vous propose dans sa 78e édition un épisode plus récent soulignant que la région est, encore et toujours, victime d’une réputation qu’elle ne mérite pas, tout en rappelant à nouveau que l’Abitibi-Témiscamingue se situe bien au sud-ouest du Québec, et non pas au nord-ouest.
Un septième reportage à lire pour rectifier les idées préconçues sur l'Abitibi-Témiscamingue. Des préjugés toujours très répandus.
Car, n'oublions pas que le Québec n'a certes pas un climat californien, mais l'Abitibi-Témiscamingue est très loin d'être la Sibérie du Québec qu'on prétend.
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| Le Québec n’est pas la Californie, mais l’Abitibi-Témiscamingue n’est pas la Sibérie non plus. Lisez notre enquête sur la désinformation climatique à partir de La Dépêche numéro 72. Pour recevoir des anciens numéros ou pour vous abonner à La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT. | Depuis près de 100 ans Le record de chaleur est témiscabitibien Depuis bientôt 100 ans, deux villes de la région détiennent le record de la température la plus élevée jamais enregistré au Québec. Voilà un fait qui vient contredire notre réputation de climat sibérien. Mais les fausses informations véhiculées sur l’Abitibi et le Témiscamingue sont tellement nombreuses (cf. La Dépêche numéros 72 à 78), qu’il convient de détailler à fond cette donnée dans l’espoir de véritablement contrer les préjugés bien ancrés.
En effet, les villes de Ville-Marie et de Témiscaming, sur les bords du lac Témiscamingue, détiennent le record de la température la plus élevée jamais enregistré au Québec.
Bien d’autres régions au Québec sont victimes de mauvaises informations concernant leur climat, mais la désinformation climatique sur l’Abitibi et le Témiscamingue est beaucoup plus importante qu’ailleurs (cf. La Dépêche numéros 72 à 78).
Comme l’écrivait déjà en 1988 le conseiller en communication Philippe Châtillon, notre région n’est plus le Nord-Ouest québécois «depuis que le Québec a enfin vu qu’il avait une baie James et une baie d’Hudson plus au nord.»
Un huitième reportage à lire dans La Dépêche numéro 79.
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| Contrairement au reste du Québec, l’Abitibi - Témiscamingue et le nord du Québec ne sont pas souvent affectés par des inondations.
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Climat La crainte de déplaire aux Montréalais
Albert Einstein a dit: «Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé.» Ce grand scientifique était bien conscient des difficultés à combattre les préjugés.
Aussi, pour lutter contre les préjugés voulant que notre région soit considérée comme la Sibérie du Québec, La Dépêche poursuit sa série de reportages sur le climat dans son édition numéro 80 en s’attardant cette fois sur ce phénomène observable chez certains météorologues qui consiste à vouloir ménager à tout prix le moral des Montréalais sans trop d’égards pour les autres.
Une frilosité pour ne pas vexer les gens de Montréal Depuis le début de nos reportages sur le climat témiscabitibien, nous avons publié de nombreux exemples de contre-vérités véhiculées dans certains médias et qui ont réussi, au cours des années, à forger à tort notre triste notoriété climatique (cf. La Dépêche nos 72 à 79).
Une facette contribuant à cette désinformation est celle visant à épargner les gens de la région de Montréal des mauvaises nouvelles météo. La Dépêche numéro 80 vous en offre un petit exemple. À lire sur papier glacé dans le magazine indépendant de l'Abitibi-Témiscamingue.
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