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| Finance Une caisse moins populaire
| LA DÉPÊCHE NUMÉRO 72 - 01/09/17
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| La Caisse populaire de la Vallée-de-l'Or a changé de nom depuis longtemps; le mot populaire a été éliminé. On comprend que l'institution financière est moins encline à utiliser le terme «populaire» pour mieux refléter sa nouvelle réalité, mais leurs Points de services mériteraient peut-être de conserver leur dénomination si des gens qui recherchent beaucoup plus qu’un simple guichet automatique continuent d’y trouver… «point de services».
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Pendant la guerre de Sécession, le président des États-Unis Abraham Lincoln déclara: «J’ai deux grands ennemis: l’armée du sud en face et les banquiers en arrière. Et des deux, ce sont les banquiers qui sont mes pires ennemis.»
Il était une fois, un fidèle client de la Caisse populaire de la Vallée-de-l'Or. Un jour, il calcule que ses frais administratifs vont augmenter de plus de 1200%. Comme il juge que c'est bien au-dessus de l'inflation, il demande des explications. «On s'adapte au marché», a été la seule raison qu'il a obtenue. Il décide donc de fermer ses comptes.
Constatant que des modalités n’avaient pas été respectées, il envoie une facture à la Caisse. Une note de frais qui a évidemment déplu à la direction de l’institution financière. Surtout quand, demandant des justifications, elle s'est fait répondre: «On s'adapte au marché.»
Retrouvez la version intégrale de ce texte dans le numéro 72 de La Dépêche. Une édition qui est également notre grand numéro quinquennal spécial économie faisant le point sur l'état économique de l'Abitibi-Témiscamingue en 2017.
Aussi dans cette édition, les étoiles de La Dépêche: une classification des haltes routières allant de 0 à 5 étoiles pour l’aller et le retour sur la Route de la Baie-James. Celles qui méritent un arrêt, celles à éviter, celles qui sont les plus instructives et celles qui vous offrent des paysages uniques. Un guide pratique vers la Baie-James pharaonique: ces installations d’Hydro-Québec que tout Québécois, ou se prétendant tel, doit avoir vu au moins une fois dans sa vie.
Également à lire sur ce même sujet, cette fois dans La Dépêche numéro 70, le 3e et dernier reportage de notre série sur la route de la Baie-James. Notre journaliste Hubert Charron vous propose un récit de voyage se concentrant particulièrement sur la portion de route entre Matagami et Radisson.
À ne pas manquer dans La Dépêche numéro 70.
Aussi dans cette 70e édition de La Dépêche, un reportage sur le Tour de l'Abitibi 2016 et la leçon de diplomatie qu'on peut en tirer. Également dans ce numéro, le début de notre série de reportage sur les ponts-couverts et les églises de l'Abitibi-Témiscamingue.
D'autre part, La Dépêche numéro 69 vous propose un avant-goût de la route de la Baie-James: la route Amos-Matagami. Il s'agit également d'un numéro spécial sous la forme d'un calendrier témiscabitibien 2016-2017 que vous pouvez accrocher au mur.
Cette édition vous offre également un grand reportage sur la Table des aînés d'Abitibi-Ouest et un photoreportage sur la 34e édition du Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue.
Pour vous procurez le numéro présentement en kiosque, consultez notre section POINTS DE VENTE.
En ce qui concerne notre reportage sur la route de la Baie-James publié dans La Dépêche numéro 68, il vous propose un grand portrait de Pierre-Esprit Radisson.
En effet, suite aux 40 ans de la localité de Radisson (en 2014), un village, provisoire à l’origine, mais qui a su maintenir des habitants n’ayant pas envie de le quitter et qui sont fiers d’y résider, il n’était pas inutile de se rappeler qui était ce Pierre-Esprit Radisson si lié aux baies James et d’Hudson. À lire dans La Dépêche numéro 68.
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