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«CANADIAN HOCKEY CLUB»
Mettre sur la glace sa fierté
LA DÉPÊCHE NUMÉRO 60  -  LES DERNIÈRES DÉPÊCHES  -  13/07/12

AU CENTRE BELL ON FAIT BEAUCOUP POUR SATISFAIRE LES ANGLOPHONES
 
 

Au Centre Bell, on en fait beaucoup pour satisfaire les anglophones.
  
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Depuis des années, l’organisation du Canadien fait des pieds et des mains pour ne jamais froisser ses spectateurs anglophones. Un souci qui se manifeste particulièrement dans sa manière probablement unique au monde de structurer les annonces de buts et de pénalités afin que les anglophones n’aient plus à répondre, oh! horreur, à un stimulus français, comme c’était le cas auparavant quand on annonçait d’abord tous les renseignements en français, suivi des applaudissements enthousiastes de la majorité de la foule, puis en anglais, sans acclamations, celles-ci étant déjà faites.

JEAN CHAREST DANS L'OMBRE DE STEPHEN HARPER
 
 

Stephen Harper et son parti représentent très bien une grande proportion des Canadiens vivant hors Québec. Ces Canadiens sont persuadés, à tort, que le Québec est la province la plus chouchoutée du Canada depuis des décennies. À ses côtés, Jean Charest peut difficilement faire croire aux Québécois que c’est une bonne chose pour le Québec de demeurer au sein de la fédération canadienne.

Lisez Les années Charest: un fédéralisme néfaste pour le Québec dans La Dépêche numéro 60 pour en savoir plus.
  
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Les partisans francophones n’ont pas droit à autant de considération, c’est le moins qu’on puisse dire. Récemment, ils ont dénoncé la nomination d’un entraîneur unilingue anglophone et la rareté de joueurs Québécois. Mais peu importe l’origine des joueurs composant l’équipe sportive la plus importante du Québec, ils pourraient tous faire un minimum d’effort pour parler la langue de la majorité de leurs partisans. Ne serait-ce que quelques mots. Tout comme on l’exige des joueurs du FC Barcelone. D’ailleurs, dans le cas de cette équipe de soccer renommée composée de joueurs de plusieurs pays, le respect qu’ils ont pour la langue et la culture catalane se traduit par un sentiment d’appartenance synonyme de triomphe.


LE PARTI LIBÉRAL DU QUÉBEC ET LA CORRUPTION
 
 

Malgré ses tentatives de diversion, le Parti libéral du Québec a beaucoup de difficultés à se dissocier de l'image de corruption qui l'afflige. Lisez La Dépêche numéro 60 pour en savoir plus.
  
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Plusieurs inconditionnels estiment que si le Canadien devait à nouveau connaître du succès, toutes ces considérations linguistiques deviendraient bien secondaires. On peut donc se réjouir des insuccès de l’équipe qui évitent ainsi que notre fierté soit mise sur la glace.