Élections générales QUÉBEC 2012



 
 

Malgré ses tentatives de diversion, le Parti libéral du Québec a beaucoup de difficultés à se dissocier de l'image de corruption qui l'afflige. Plus de détails dans La Dépêche numéro 60.
   
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Des médias et de nombreux microbillets rapportent de plus en plus d'irrégularités où le Directeur général des élections du Québec est critiqué pour favoriser le Parti libéral du Québec.

Léa Clermont-Dion, une étudiante Québécoise ayant droit de vote, rapporte qu'une trentaine de personnes lui ont témoigné qu'elle n'était pas la seule étudiante à s'être fait répondre par le DGE qu'elle ne pourrait pas exercer son droit de vote le 4 septembre (http://bit.ly/T6jrVP). Comme on le sait, suite au printemps érable, les probabilités que les étudiants votent pour le Parti libéral du Québec sont plutôt minces.



 
 

Stephen Harper représente bien une grande proportion des Canadiens vivant hors Québec. Ces Canadiens sont persuadés, à tort, que le Québec est la province la plus chouchoutée du Canada depuis des décennies. À ses côtés, Jean Charest peut difficilement faire croire aux Québécois que c’est une bonne chose pour le Québec de demeurer au sein de la fédération canadienne. Lisez Les années Charest: un fédéralisme néfaste pour le Québec dans La Dépêche numéro 60 pour en savoir plus.
   
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Par ailleurs, le DGE a été critiqué pour avoir autorisé le vote de personnes âgées brusquées ou subissant des pressions pour voter, alors qu'elles n'avaient pas toujours toute leur lucidité pour tracer leur X en connaissance de cause.

Le DGE est aussi critiqué pour avoir interdit à un détaillant de gilets humoristiques de «concevoir» ou de «vendre» un vêtement qui présente Jean Charest avec des oreilles de Mickey.

Autant d'éléments qui tendent à confirmer le parti pris du DGE pour le Parti libéral du Québec que La Dépêche soulignait déjà dans son édition numéro 56. De plus, dans son numéro 60, La Dépêche rapportait d'autres informations qui tendent à accréditer le manque d'impartialité du gardien de la démocratie au Québec.

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