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| Yves Beauchemin
Clova a formé un des plus grands écrivains du Québec
| LA DÉPÊCHE NUMÉRO 20 - 12/06/23
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| L'auteur du roman Le Matou est natif de Rouyn-Noranda, mais a passé l'essentiel de son enfance dans la municipalité isolée de Clova.
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Yves Beauchemin est natif de Rouyn-Noranda. Il est un des grands écrivains du Québec. Il a écrit plusieurs romans à succès. On lui doit, entre autres, des oeuvres comme L'enfirouapé, ou encore Juliette Pomerleau. Il y a aussi Le second violon et Les émois d'un marchand de café.
Le livre Au sommet d'un arbre, paru en 1986, est un incontournable pour en apprendre plus sur Yves Beauchemin et ses souvenirs sur la région.
Mais dans l'ensemble de ses écrits, Le Matou , adapté au cinéma par Jean Beaudin, demeure probablement son roman le plus connu.
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| Clova est un hameau isolé au coeur de la forêt entre la Mauricie et l'Abitibi-Témiscamingue.
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La solitude forme les écrivains!
«Malheureusement, Clova, 36 habitants, on a comme perdu le contrôle. On va être obligé de laisser brûler Clova», cette déclaration surprenante du premier ministre du Québec, François Legault, le 5 juin 2023, en pleine crise des feux de forêt au Québec, a remis le hameau de Clova sur la carte.
Cette localité, considérée comme un peu rebelle par certain, a fortement forgé la personnalité d'Yves Beauchemin de par son isolement. «Tout jeune, à Clova, où il n'y avait pas grand chose à faire, j'ai été passionné par la lecture. [...] La solitude forme les écrivains!»
 En février 2000, La Dépêche numéro 20 consacrait sa page couverture à Yves Beauchemin en publiant une des rares entrevues de fond de cet homme profondément souverainiste sous le titre provocateur: Sommes-nous des couilles molles?
Dans un texte très intime, notre journaliste Martin Côté nous propose de découvrir cet auteur qui a été marqué pas son enfance dans la petite municipalité isolée de Clova. Un portrait unique sur Yves Beauchemin, à lire dans La Dépêche numéro 20.
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| Le premier ministre du Québec, François Legault, lors de l’annonce à Lebel-sur-Quévillon d’une aide de 137,9 millions de dollars pour l’usine de pâte kraft. Le papier est plus que jamais un support écologique.
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La pollution qui se cache derrière nos écrans:
une vérité qui dérange
Elle est cachée. Elle est loin. Mais elle est excessivement néfaste pour l’environnement par rapport à celle du papier. C’est la pollution que génèrent les nouvelles technologies.
Cette pollution a été très peu dénoncée jusqu’ici. Elle remet en question nos plus récentes habitudes.
La COVID-19 nous a forcés à augmenter considérablement notre temps d’écran, une désintoxication numérique sera nécessaire après la crise.
Téléphones multifonctions, tablettes, liseuses, ordinateurs... ces appareils génèrent, entre autres, une empreinte carbone importante lors de leur fabrication principalement en Chine à partir d’une énergie polluante.
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| Penchés sur nos appareils électroniques, nous accumulons divers problèmes de santé.
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Des problèmes de santé sous-estimés
«On va tous finir par maudire Steve Jobs», confiait à La Dépêche un médecin de Rouyn-Noranda qui se désolait de voir de plus en plus des problèmes à la colonne vertébrale chez des jeunes trop longuement penchés sur leurs téléphones, tablettes ou ordinateurs.
Mais les déformations de la colonne vertébrale sont loin d’être les seules conséquences graves que provoque sur notre santé l’utilisation des nouvelles technologies.
 La Dépêche numéro 80 vous propose un solide dossier sur les produits faits de papier qui se révèlent être plus écologiques et plus bénéfiques pour la santé qu’on a l’habitude de le croire.
Un contexte favorable pouvant assurer le succès, autant d’un média sur papier glacé comme La Dépêche, qu’une relance comme celle de l’usine de pâte kraft à Lebel-sur-Quévillon. À lire dans La Dépêche numéro 80.
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