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Centre de détention d’Amos et
Desserte ambulancière – secteur Amos

Enfin! ça se règle!
 

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(29/05/10) – Le vice-président de l’Assemblée nationale, François Gendron, pousse un soupir de soulagement alors que la construction du futur centre de détention d’Amos a franchi le 17 mai dernier une nouvelle étape.
 
Beaucoup d’eau a coulé sous les ponts depuis la visite du ministre de la Sécurité publique, Jacques Dupuis, en avril 2008, pour confirmer la construction du nouveau centre de détention à Amos. Néanmoins, certaines questions demeuraient à être éclaircies que ce soit au sujet de la construction en mode conventionnel ou en partenariat public-privé (PPP) ou encore celle du terrain.
 
Selon le député d’Abitibi-Ouest, ce dernier point aura fait perdre beaucoup de temps.  « J’ai assez d’expérience pour savoir que le choix du terrain n’a aucun impact que ce soit pour la confection des plans et devis et le lancement des appels d’offres. C’est malheureux, mais on a perdu des mois à cause de contraintes d’agenda de ministres et pas seulement sur ce dossier », a déclaré le député François Gendron.
 
Toutefois, le député Gendron est heureux que le processus soit maintenant en branle. D’abord pour les employés qui commencent à voir la lumière au bout du tunnel, mais également pour l’économie amossoise. « Il faut se rappeler qu’il n’y a pas si longtemps la Protectrice du citoyen montrait du doigt le centre de détention d’Amos comme étant un endroit où les conditions de détention étaient des plus préoccupantes.  L’environnement de travail des intervenants sera grandement amélioré et il s’agit également d’une excellente nouvelle pour l’économie de la MRC d’Abitibi qui, à terme, attirera des gens de partout avec de bons emplois durables », a souligné le député d’Abitibi-Ouest.
 
Desserte ambulancière – secteur Amos
 
Par ailleurs, le député d’Abitibi-Ouest et vice-président de l’Assemblée nationale, François Gendron, se réjouit de savoir que le dossier de la desserte ambulancière dans le secteur de la MRC d’Abitibi est enfin réglé.
 
« Pendant le mois de mai, le ministre de la Santé et des Services sociaux, M. Yves Bolduc, m'a confirmé sur le parquet de l'Assemblée nationale, à deux reprises, qu'il acquiesçait à la demande légitime des intervenants et des citoyens de la MRC d’Abitibi d’augmenter la couverture ambulancière dans ce secteur. Après y avoir déployé autant d’efforts et d’attention, je me réjouis donc de savoir ce dossier enfin réglé », a déclaré le député d’Abitibi-Ouest.
 
S’il affirme aujourd’hui que le dossier ambulancier est derrière lui, François Gendron ne peut s’empêcher d’ajouter qu’il aurait pu l’être bien avant. « Ça fait un bout que M. Bolduc m’accroche pour me dire que le dossier est pratiquement dans la poche, que la décision allait être prise dans les heures qui suivent… M. Bolduc est un collègue parlementaire que je respecte, mais j’avoue candidement qu’il a quelque peu sollicité ma patience », a exprimé François Gendron.
 
Cela étant dit, le député d’Abitibi-Ouest remercie les intervenants du secteur de la MRC d’Abitibi, mais également de la région, pour leur implication et leur appui. À ce titre, les municipalités de la MRC, la Ville d’Amos, le Conseil central Abitibi-Témiscamingue de la CSN, la Conférence régionale des élus d’Abitibi-Témiscamingue, l’Agence de la santé et des services sociaux de l’Abitibi-Témiscamingue ont chacun livré une bataille à leur niveau et contribué à mener ce dossier à terme. « On a raison d’être heureux de ce dénouement, car, pour la population, une desserte ambulancière adéquate constitue un préalable essentiel à des soins de santé de qualité », a conclu François Gendron.