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Le Festival du cinéma international
en Abitibi-Témiscamingue

La recette secrète I

(20/10/00) Quelle est la recette secrète de ce péché mignon pour cinéphile?

Par Danièle Laforce

Qui est l'Abitibien, dites-moi, qui n'a pas entendu un jour, l'histoire des trois gars de Rouyn-Noranda qui aimaient tellement le cinéma qu'ils ont fondé leur propre compagnie? Cette histoire est vraie. L' identité des trois gars n'a pas changé depuis le tout premier Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue. Lors de la 18e édition, notre journaliste Danièle Laforce avait rencontré l'un des trois promoteurs de l'événement, Jacques Matte. Ce matin de septembre, nous voulions savoir : quels sont les ingrédients qui ont fait la recette gagnante du Festival?

Un peu d'histoire

Pour renouer avec les débuts du Festival, il faut retourner dans un bar, un soir de bière et de printemps. Guy Parent, Louis Dallaire et Jacques Matte se disent qu'il faudrait créer un événement cinématographique plus vaste, plus riche que la Semaine du Festival du cinéma régional dans laquelle s'implique déjà beaucoup le grand Matte. Quelques temps plus tard, les mêmes trois gars se réunissent autour de la table chez Jacques Matte. Ils ouvrent une bouteille de vin, font venir de la pizza et fondent leur compagnie indépendante. «Depuis ce temps-là, il y a à peu près 8 ou 9 millions de dollars qui ont roulé dans cette compagnie-là», commente Jacques Matte.