En kiosque
| 
|
| Au départ du Tour d'Espagne 2025
Chaos et panique pour la Rouynorandienne Olivia Baril
| Sportcom - 05/05/25
|
| 
|
|
|
| Une photo d'archives d'Olivia Baril (au centre) lors du Tour d'Espagne de l'an passé.
|
Cyclisme sur route 2025
Tour mondial féminin
Chaos et panique au départ du Tour d'Espagne 2025
Une étape marquante pour la Rouynorandienne Olivia Baril
4 mai 2025
L’équipe Movistar voudra rapidement oublier son départ du contre-la-montre par équipe de la première étape du Tour d’Espagne féminin qui s’est tenu le dimanche 4 mai 2025 à Barcelone. En effet, le magazine de l'Abitibi-Témiscamingue La Dépêche a appris via l'agence Sportcom que la formation dont fait partie la Rouynorandienne Olivia Baril s’est élancée sur le parcours de huit kilomètres dans un vent de panique, ce qui a eu des conséquences et pas seulement au classement.
La Rouynorandienne Olivia Baril salue le bon effort de son équipe Movistar
Les Movistar ont enregistré le huitième temps du jour, accusant un retard de 15,82 secondes sur la formation gagnante, Lidl-Trek, qui permet à la Néerlandaise Ellen van Dijk d’enfiler le maillot rouge de meneuse.
«Il n’y a rien à dire vraiment, sauf que c’était beaucoup de stress parce que nous avons presque manqué le départ. Cat Ferguson avait une crevaison et il y a eu beaucoup d’erreurs d’organisation, mais au moins, l’effort de l’équipe était bon», a résumé Baril, qui a franchi la ligne d’arrivée 22 secondes après ses coéquipières les plus rapides.
Résumé du départ chaotique de la première étape du Tour d'Espagne 2025
C’est finalement le site Internet spécialisé Cyclingnews qui a résumé le mieux et en détail ce départ chaotique.
Ainsi, les coureuses de Movistar ne se sont pas présentées à l’inspection des vélos dans les délais requis. Ce retard a eu un effet domino sur l’inspection des montures des formations qui s’élançaient après elles et certaines équipes ont été pressées dans le temps pour amorcer leur contre-la-montre à l’heure prévue. L’équipe espagnole a d’ailleurs été mise à l’amende de 1600 francs suisses par l’Union cycliste internationale.
Baril pourra amorcer son travail d’équipière dès lundi [5 mai 2025] pour épauler Marlen Reusser qui sera la coureuse protégée de sa formation. L’athlète de Rouyn-Noranda aura aussi un billet pour sauter dans une échappée si l’occasion se présente.
| 
|
|
|
| Antonin Corvaisier et Baptiste Lacroix de l'équipe de France lors du 51e Tour de l'Abitibi.
|
Une autre Québécoise que La Dépêche vous suggère de surveiller tout au cours de la saison 2025
L’autre Québécois présente dans la capitale catalane, Magdeleine Vallières-Mill (EF Education-Oatly), avait peut-être un rôle limité dimanche [4 mai 2025], mais La Dépêche vous suggère de la surveiller attentivement tout au cours de la saison 2025: l'année du cyclisme féminin selon le magazine de l'Abitibi-Témiscamingue.
| 
|
|
|
| Le 12 février 2025, le Tour de l'Abitibi a lancé officiellement sa première campagne de dons de son histoire par se mé de problèmes récutents.
|
«Je n’avais pas de travail précis à faire et on m’a juste demandé de rouler derrière. Ça ne change rien pour moi, car je ne vise pas une place au classement général. Mon rôle sera surtout d’être domestique pour Cédrine Kerbaol.»
Dimanche [4 mai 2025], son équipe s’est classée huitième, à 16,19 secondes des plus rapides.
«Il y a des étapes où je pourrai être agressive et partir en échappée. Nous allons viser des victoires d’étape et pas juste le cumulatif. Nous avons plusieurs cartes à jouer, alors ce sera un mélange de tout ça », a conclu la Sherbrookoise.
La deuxième étape sera présentée lundi [5 mai 2025] entre Molins de Rei et Sant Boi de Llobregat sur une distance de 99 kilomètres.
Cyclisme sur route 2025
Tour mondial féminin
Tour d’Espagne
La pluie change la donne à la deuxième étape
Chute de la Rouynorandienne Olivia Baril
5 mai 2025
Les deux Québécoises en lice au Tour d’Espagne, Magdeleine Vallières-Mill (EF Education-Oatly) et la Témiscabitibienne Olivia Baril (Movistar), ont connu des journées bien différentes le 5 mai dernier. C'est ce qu'a appris le magazine La Dépêche via l'agence Sportcom. en effet, la première a vu sa coéquipière Letizia Borghesi lutter pour la victoire d’étape et finir troisième, tandis que l’autre a chuté dans une descente du parcours de 99 kilomètres qui reliait les villes de Molins de Rei et Sant Boi de Llobregat.
Vallières-Mill s’est classée 77e dans le groupe de tête et dans le même temps que la gagnante, la Néerlandaise et ancienne championne du monde, Marianne Vos (Visma – Lease a Bike).
Quant à la Rouynorandienne Baril, elle a franchi l’arrivée en 137e place avec un retard d’un peu plus de trois minutes et demie. Sa formation a écrit sur le réseau X que la chute de la Témiscabitibienne avait été sans conséquence fâcheuse au plan physique.
«On a fait un bon travail d’équipe et Letizia finit avec une troisième place. Il y a aussi Cédrine Kerbaol pour qui ça va bien au classement cumulatif (27e à 17 secondes)», a brièvement relaté Magdeleine Vallières-Mill à l'agence Sportcom. «(Personnellement), la forme n’est pas au top, mais ça devrait s’améliorer au cours des étapes.»
| 
|
|
|
| L'Amossois Charles-Étienne Chrétien (à droite sur cette photo d'archives) a complété le critérium au 5e échelon aux Championnats canadiens 2019.
|
La pluie s’est abattue de façon intense par moments dans le dernier tiers de l’épreuve, ce qui a rendu la chaussée glissante. Avec 14 kilomètres à faire, Baril a chuté dans un virage épingle d’une descente. Heureusement, la championne canadienne ne roulait pas à pleine vitesse.
Un peu plus tard, c’était au tour de sa coéquipière britannique Cat Ferguson de chuter, cette fois dans le dernier virage après avoir dérapé sur une marque de signalisation peinte au sol.
Marianne Vos a pu compter sur l’excellent travail de sa coéquipière et aussi ex-championne du monde Pauline Ferrand-Prévot dans cette deuxième étape. Elle a tiré le peloton à une vitesse élevée pendant un bon moment pour fatiguer les trains des sprinteuses. Un beau retour d’ascenseur de la part de la Française qui avait profité du travail de la Néerlandaise qui avait joué un rôle capital dans sa récente victoire en solo à Paris-Roubaix.
La Néerlandaise Ellen van Dijk (Lidl-Trek) a perdu le maillot rouge au profit de l’Italienne Letizia Paternoster (Liv AlUla Jayco), qui détient une avance de deux secondes sur la Néerlandaise Femke Gerritse (SD Worx – Protime).
Vallières-Mill pointe au 100e rang (+1 minute 40 secondes) et la Témiscabitibienne Olivia Baril au 132e (+4 minutes 13 secondes).
La troisième étape de la Vuelta, longue de 134 kilomètres, aura lieu le mardi 6 mai 2025 entre Barbastro et Huesca, sur un parcours plat qui devrait favoriser les sprinteuses.
| 
|
|
|
| La cycliste Rouynorandienne Olivia Baril.
|
Cyclisme sur route 2025
Tour mondial féminin
Tour d’Espagne
Les équipes des Québécoises dans la lutte au classement général
8 mai 2025
Les cyclistes québécoises Olivia Baril (Movistar) et Magdeleine Vallières-Mill (EF Education-Oatly) ont chacune vu une de leur coéquipière accéder au top-5 du classement général provisoire du Tour d’Espagne au terme de la première étape de montagne, jeudi 8 mai 2025, à Lagunas de Neila.
C'est ce qu'a appris le magazine La Dépêche qui suit de près la saison 2025 de la Rouynorandienne Olivia Baril via, entre autres, l'agence Sportcom.
La championne en titre de la Vuelta, la Néerlandaise Demi Vollering (FDJ – Suez), a fait coup double en remportant cette cinquième étape longue de 120 kilomètres, en plus de mettre la main sur le maillot de meneuse. Derrière elle, la Suisse et coéquipière de Baril, Marlen Reusser (Movistar), a été la deuxième à arriver au sommet 24 secondes plus tard. Reusser passe ainsi de la 16e à la 3e place du classement provisoire (+ 45 secondes).
La Néerlandaise Anna Van der Bregen (SD Worx - Protime), troisième du jour, la précède d’une seconde au cumulatif après cinq des sept étapes.
Les EF Education-Oatly n’ont pas été en reste elles non plus. La Française Cédrine Kerbaol pointe au quatrième rang du classement provisoire après sa sixième place jeudi.
| 
|
|
|
| L'Équipe d'Israël a eu bien des difficultés à trouver des légumes lors du Tour de l'Abitibi de 1998. Lisez l'article complet dans La Dépêche numéro 8 et ce texte sur les problèmes récurrents du Tour de l'Abitibi.
|
Magdeleine Vallières-Mill (+6 minutes 39 secondes) et Olivia Baril (+19 minutes 38 secondes) ont respectivement terminé en 31e et 90e places de cette cinquième étape.
«Nous sommes contentes, car l’objectif de la Vuelta, c’est que Marlen (Reusser) monte sur le podium du classement général. Et là, elle n’est qu’à une seconde de la deuxième place. Tout le travail que nous faisons, c’est pour elle», a expliqué Olivia Baril à l'agence Sportcom.
«Movistar a vraiment beaucoup d’expérience dans des grands tours avec Annemiek Van Vleuten (aujourd’hui retraitée) qui a gagné la Vuelta, le Giro et le Tour plusieurs fois, alors on a la bonne approche. Quand l’équipe a un objectif de classement général, elle met toute son énergie là-dessus.»
Dans l’avant-dernière montée du jour, les FDJ – Suez n’ont pas ménagé leurs efforts pour réduire la taille du peloton. Un groupe d’une douzaine de coureuses a ensuite amorcé la montée finale et à 11 kilomètres du sommet, Mareille Meijering (Movistar) est partie en solo, creusant rapidement un écart d’une trentaine de secondes, laissant à sa coéquipière Marlen Reusser le luxe de seulement suivre les meneuses.
Les tentatives de l’ancienne championne européenne Mischa Bredewold (SD Worx – Protime) de revenir sur la tête de course ont été vaines et Meijering a finalement été rattrapée par le groupe des favorites avec 3,5 kilomètres à faire. Vollering a pris les choses en main 500 mètres plus tard. Reusser a pu s’accrocher un moment pour ensuite sécuriser sa deuxième place.
La sixième étape du Tour d’Espagne sera disputée vendredi 9 mai 2025 entre Becerril de Campos et Baltanas. Le parcours plutôt plat de 127 kilomètres devrait favoriser les sprinteuses.
| 
|
|
|
| L'Équipe d'Israël lors du Tour de l'Abitibi de 1998. Lisez l'article complet dans La Dépêche numéro 8.
Pour recevoir des anciens numéros, consultez notre section Abonnement.
|
Cyclisme sur route 2025
Tour mondial féminin
Tour d’Espagne
Pas de changement à l’avant-dernière étape du Tour d’Espagne féminin
9 mai 2025
Plus tôt dans la journée, à la sixième et avant-dernière étape du Tour d’Espagne féminin, la Néerlandaise et détentrice du maillot vert de meilleure sprinteuse, Marianne Vos (Visma | Lease a Bike), s’est imposée au sprint devant sa compatriote Mischa Bredewold (SD Worx - Protime) au bout des 127 kilomètres entre Becerril et Baltanas.
Magdeleine Vallières-Mill (EF Education – Oatly) a fini en 47e place, dans le même groupe que la gagnante. Olivia Baril (Movistar) a franchi l’arrivée au 93e rang (+2 minutes 35 secondes), dans le deuxième groupe.
| 
|
|
|
| L'États-Unien Lucas Bourgoyne a remporté le Défi de vitesse du 51e Tour de l’Abitibi.
|
Pas de changement au classement général alors que le Néerlandaise Demi Vollering (FDJ - Suez) demeure en rouge avec une avance de 45 secondes sur sa compatriote Anna Van der Breggen (SD Worx - Protime). La Suisse et coéquipière d’Olivia Baril, Marlen Reusser, suit au troisième rang à 1 seconde de la deuxième place.
Vallières-Mill (+8 minutes 34 secondes) est 26e et Baril (+35 minutes 32 secondes) 102e.
L’étape de samedi 10 mai 2025, 153 kilomètres entre La Robla et l’Alto de Cotobello, sera déterminante pour le classement final. Un col de deuxième catégorie et deux de première catégorie, dont une arrivée au sommet, attendra les coureuses.
| 
|
|
|
| L'équipe de cyclistes de France parrainée par la Ville de Rouyn-Noranda lors du Tour de 2016.
|
Cyclisme sur route
Tour mondial féminin
Tour d’Espagne
Les équipes des Québécoises bouclent la Vuelta en force
10 mai 2025
La septième et dernière étape du Tour d’Espagne féminin s’est conclue au sommet de l’Alto de Cotobello samedi, là où la Néerlandaise Demi Vollering a triomphé pour défendre son titre au classement général.
La meneuse de la formation FDJ-Suez possédait déjà une avance de 45 secondes sur sa compatriote Anna Van Der Breggen (SD-Worx Protime) au cumulatif avant le début de la journée. Elles étaient toutes les deux de l’échappée à la fin du parcours de 152,6 kilomètres. Vollering a lancé son ultime attaque dans le dernier kilomètre, en pleine ascension, et a réussi à distancer ses adversaires sous la pluie.
| 
|
|
|
| L'Équipe d'Israël lors du Tour de l'Abitibi de 1998. Lisez l'article complet dans La Dépêche numéro 8.
Pour recevoir des anciens numéros, consultez notre section Abonnement.
|
C’est la Suisse Marlen Reusser, coéquipière de la Québécoise Olivia Baril chez Movistar, qui a été la deuxième à franchir l’arrivée, 11 secondes après la championne. Au classement général, Reusser accuse un retard de 1 minute et 1 seconde et est montée sur la deuxième marche du podium. Anna Van Der Breggen a complété le podium.
La Française Cédrine Kerbaol était aussi dans le coup samedi et faisait partie des meneuses dans la montée de l’Alto de Cotobello. Celle qui porte les couleurs d’EF Education – Oatly comme Magdeleine Vallières-Mill a pris le quatrième rang, de l’étape comme de la Vuelta.
«On est super contentes et on a super bien travaillé en équipe cette semaine. On a toutes cru en Cédrine», a souligné Vallières-Mill à Sportcom, elle qui s’est classée 35e (+7 minutes et 42 secondes) samedi. Elle pointe au 30e échelon du classement général.
«Si on continue de travailler comme ça, le podium n’est pas loin et je crois que pour le Tour de France, on va être capables de rivaliser avec les meilleures. Je suis contente du travail que j’ai fait cette semaine. Je me sentais mieux de jour en jour, alors ça regarde bien pour le Tour qui sera un peu plus long.»
De son côté, la Rouynorandienne Olivia Baril a fini 97e de la septième étape et 94e au cumulatif.
Tour mondial féminin 2025
Deux recrues québécoises à Paris-Roubaix
12 avril 2025
À sa première participation à Paris-Roubaix, la Française Pauline Ferrand-Prévost (Visma – Lease a Bike) a franchi la ligne d’arrivée en solo au vieux vélodrome, samedi, à Roubaix.
Également recrues à l’Enfer du Nord, les Québécoises Olivia Baril (Movistar) et Florence Normand (Winspage Orange Seal) ont aussi rallié l’arrivée: Baril au 82e rang (+15 minutes 7 secondes) et Normand hors délai, comme une vingtaine d’autres coureuses.
Gagnante de l’épreuve en 2023, la Canadienne Alison Jackson (EF Education-Oatly) s’est classée cinquième. Sa coéquipière italienne Letizia Borghesi (+58 secondes) et la Néerlandaise Lorena Wiebes (SD Worx – Protime, +1 minute 1 seconde) sont montées sur le podium.
Ferrand-Prévost est sortie du groupe des favorites à 25 kilomètres de l’arrivée pour rattraper la Danoise Emma Norsgaard (Lidl – Trek). La médaillée d’or olympique en vélo de montagne à Paris s’est ensuite détachée de sa partenaire d’échappée pour forger sa victoire jusqu’au bout, aidée en partie par la chasse désorganisée du groupe des favorites derrière.
| 
|
|
|
| La cycliste Rouynorandienne Olivia Baril en 2024.
|
Une journée bien compliqué pour l'équipe Movistar selon ce que nous rapporte la Rouynorandienne Olivia Baril
Selon ce que Sportcom a rapporté à La Dépêche, Olivia Baril a mentionné le 12 avril dernier [12 avril 2025] à quel point la journée avait été compliquée pour plusieurs membres la formation Movistar, dont la meilleure représentante a été la Serbe Jelena Eric, 11e.
«J’ai eu beaucoup de problèmes mécaniques. J’aime les pavés de plus en plus, mais nous avons eu beaucoup de malchances cette année. Cat (Ferguson) et Carys (Lloyd) ont chuté et Floortje Mackaij a fait une crevaison. C’est décevant et je suis aussi vraiment fatiguée de toutes les classiques», a brièvement expliqué la championne canadienne qui s’accordera une période de repos avant son prochain objectif, le Tour d’Espagne, qui débutera le 4 mai prochain, à Barcelone.
L'enfer...
c'est pour les autres
«On appelle ça l’enfer, mais ce n’est pas si mal!», souligne Florence Normand.
Affaiblie par un virus et une bactérie plus tôt cette saison, Florence Normand a été un peu une invitée de dernière minute à Paris-Roubaix.
Pendant que sa coéquipière Polonaise Aurela Nerlo était dans l’échappée matinale [12 avril 2025], l’Almatoise a subi un saut de chaîne avant survenu avant le premier secteur de pavés. Cela a fait en sorte qu’elle s’est retrouvée en queue de peloton.
Une cycliste bien satisfaite
«Je suis quand même contente d’avoir fini la course, car je n’ai pas eu de bonnes sensations dans les dernières semaines. Je me sentais beaucoup mieux aujourd’hui», a indiqué la Québécoise, ajoutant qu’elle regrettait de ne pas s’être plus battue pour être mieux positionnée dans la première difficulté du jour.
«C’est une victoire personnelle de savoir que ça (la forme) va revenir rapidement. L’ambiance, c’était fou! Je n’ai pas réalisé que j’étais à Paris-Roubaix avant d’entrer dans le vélodrome. J’ai eu des frissons et j’étais propulsée par la foule. Tout est spectaculaire. [...] Les pavés, c’est un peu horrible, mais ç’a passé vite ! Je ne dis pas que je n’y retournerai pas, mais une fois par année, c’est assez. On appelle ça l’enfer, mais ce n’est pas si mal!»
Une grosse ampoule à la paume de la main gauche sera un souvenir de cette première participation pour l’athlète de 23 ans qui se concentrera maintenant sur les courses montagneuses, qui lui conviennent davantage.
| 
|
|
|
| Consultez notre section Anciens numéros pour les sommaires de toutes nos publications depuis 1997.
|
La Dépêche bientôt de retour sous un nouveau modèle d'affaire, mais toujours sur papier glacé
Suite à la pandémie de COVID-19, La Dépêche a suspendue temporairement la publication du magazine sur papier glacé et se trouve présentement en pleine restructuration.
Le nouveau modèle d'affaire conservera assurément le support sur papier glacé : un véhicule d'information plus écologique, plus sécuritaire pour combattre les fausses nouvelles et plus bénéfique pour la santé que jamais! Bref, un média traditionnel distinctif et ainsi... plus crédible.
Par ailleurs, l'entreprise témiscabitibienne estime actuellement pouvoir reprendre la publication de nouveaux numéros de La Dépêche au cours de l'année 2025 sur des assises tenant compte des nouvelles réalités économiques engendrées par la pandémie.
 La Dépêche numéro 80 consacre sa page couverture à la relance de l'usine de pâte kraft à Lebel-sur-Quévillon et en profite pour remettre les pendules à l'heure concernant l'impact des nouvelles technologies de l'information sur l'écologie de notre planète et sur notre santé.
Un grand dossier étoffé sur l'avenir prometteur du papier soutenu par une multitude d'experts du monde de l'économie, de la santé et des nouvelles technologies. À lire dans La Dépêche numéro 80.
Pour recevoir un ancien numéro de La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT.
 La Dépêche numéro 79 vous propose de découvrir quelques-uns des films de la 38e édition du Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue. D'ailleurs, La Dépêche consacre sa page couverture au long métrage Une manière de vivre tourné, entre autres, à Radisson. Une occasion de se rappeler l'importance qu'occupe la Baie-James dans notre «manière de vivre» au quotidien.
Aussi, à ne pas manquer dans La Dépêche numéro 79, la suite de nos reportages sur les belles routes du Témiscamingue. Dans cette édition, parcourez la route entre Angliers et la baie l'Africain.
Puis, poursuivez notre tour du monde avec une vision témiscabitibienne. Dans cette édition, destination: l’immensité de l’océan Pacifique et ses îles paradisiaques, mystérieuses et légendaires comme l’île de Pâques, l’îlot de Pitcairn et les îles soeurs de Moorea et de Tahiti.
Pour vous procurez un ancien numéro de La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT.
 La Dépêche numéro 78 vous propose une édition spéciale sur l'enseignement collégial dans notre région.
La diversification de la clientèle que connaît le Cégep de l'Abitibi-Témiscamingue depuis les dix dernières années est tout à fait nouvelle et exceptionnelle.
Mais qu'est-ce qui attire ces étudiants internationaux tout comme ceux des premières nations?
Un dossier éducation qui débute par un tour d'horizon des principales caractéristiques de notre institution cinquantenaire qui est, de surcroît, aujourd'hui plus que jamais, au service de son milieu d'appartenance.
Un grand dossier éducation de huit pages à lire absolument dans La Dépêche numéro 78.
 La Dépêche numéro 77 vous propose la grande conclusion, sur six pages, de notre reportage sur un homme d'une endurance hors du commun: Pierre Gaultier de La Vérendrye.
Quelle belle histoire que celle de la famille de Pierre Gaultier de La Vérendrye qui oeuvra pour la Nouvelle-France avec une constance aussi réelle que celle caractérisant Samuel de Champlain!
Après s’être illustré héroïquement sur les champs de bataille en Europe et après des années passées à cultiver ses terres peu favorables de La Vérendrye (cf. La Dépêche numéro 76), il décide à 42 ans de changer de carrière. Il est à l’aube d’une fabuleuse troisième vie.
Pour vous procurez un ancien numéro de La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT.
 Dans La Dépêche numéro 68, Michel La Veaux nous parle plus en profondeur de son documentaire Hôtel La Louisiane.
Pour en savoir plus sur les personnages de son film et sur ce lieu magique dont les valeurs humaines qui s’en dégagent peuvent nous inspirer, procurez-vous La Dépêche édition 68.
Pour recevoir un ancien numéro de La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT.
 Présent en 2015 au Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue pour Là où Atilla passe..., Roy Dupuis était également au Festival en 2014 pour présenter le film Ceci n'est pas un polar.
Toujours attaché à l'Abitibi-Témiscamingue où il est né, plus précisément à Amos, Roy Dupuis a bien voulu s'entretenir avec La Dépêche de choses et d’autres dans une entrevue exclusive que vous pouvez lire dans notre édition numéro 66.
Pour recevoir un ancien numéro de La Dépêche, consultez notre section ABONNEMENT. |
|
