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COURRIEL DE LA RÉDACTION

Si le Festival du cinéma international en Abitibi-Témiscamingue en est à sa 19e édition, sa grande histoire a débuté il y a maintenant plus de 20 ans et se compare à un véritable long métrage à succès.

Par Alain Aylwin

Le long métrage de cette grande aventure cinématographique débute en 1977. À ce moment, des gens à Rouyn-Noranda avaient décidé de mettre sur pied une semaine de cinéma régional pour souligner tout l'éventail de ce qui se fait ici en cinéma.

C'est que l'Abitibi-Témiscamingue était à l'époque un gros producteur de cinéma avec, entre autres, les équipes de production de l'ONF, de Richard Desjardins, d'André Dudemaine, d'André Blanchard et les films de colonisation de l'abbé Maurice Proulx. Les brûlés est sans doute le film le plus célèbre tourné ici. C'était en 1959 et il mettait en vedette Félix Leclerc.

La Semaine du cinéma régional durera cinq ans et Jacques Matte y jouera un rôle de premier plan. Il sera toujours secondé par deux autres comparses, Louis Dallaire et Guy Parent, qui l'encourageront et le soutiendront continuellement. Puis un soir, dans un bar de la ville, les trois gars décident de lancer un véritable festival de cinéma international à Rouyn-Noranda.

En près de 20 ans, les trois gars ont traversé mers et marées mais la collégialité du début demeure. Et à cette «distribution» de départ se sont ajoutés des «bénévoles professionnels» et un public qui assurent année après année le succès de ce «long métrage d'amour» entre le Festival et son public fidèle.

La reproduction de ce texte est autorisée sous réserve de la mention de la source et d'une autorisation de la direction du magazine La Dépêche. Lisez le texte intégrale dans La Dépêche no2.